Les problèmes de développement des pays les moins avancés (PMA) et des pays en développement sans littoral (PDSL) sont une préoccupation majeure qui ne peut être ignorée par la communauté internationale, a lancé l’Éthiopie lors du débat de la Deuxième Commission (questions économiques et financières) consacré aux pays en situation particulière, cet après-midi. Qu’il s’agisse de la pandémie, des conflits ou des urgences climatiques, les PMA sont intrinsèquement et structurellement désavantagés pour faire face aux multiples crises actuelles, et, ce sont eux qui en portent le poids le plus lourd, a abondé le groupe représentant ces pays.
En cours au Siège de l'ONU
Deuxième Commission
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) s’est penchée, ce mercredi, sur les questions d’élimination de la pauvreté, de développement agricole, de sécurité alimentaire et de nutrition.
« Nous sommes aujourd’hui dans l’œil du cyclone, mais il ne faut pas que l’histoire se souvienne de nous comme de la génération qui n’a rien fait contre la pauvreté. » C’est ainsi que Mme Rabab Fatima, Haute-Représentante pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement, a posé le débat conjoint que le Conseil économique et social (ECOSOC) et la Deuxième Commission (questions économiques et financières) ont consacré, ce matin, aux nouvelles perspectives sur l’éradication de la pauvreté.
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) s’est attaquée, ce lundi, aux questions de développement durable, en particulier les mesures à prendre pour atténuer et s’adapter aux effets catastrophiques des changements climatiques.
Les crises multiples aggravent encore les inégalités dans l’accès au développement et creusent la fracture numérique. Tel est le constat partagé, ce vendredi, par les experts et les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui se penchaient sur la mondialisation et l’interdépendance, les migrations et les technologies de l’information et des communications (TIC).
Le constat partagé par les experts et les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui a étudié, ce jeudi, les questions de politique macroéconomique, a été clair: les règles du système financier international sont devenues obsolètes et doivent absolument être réformées si le monde veut conserver une chance d’atteindre un jour tout ou partie des objectifs de développement durable (ODD).
Face à la gravité des situations sans précédent auxquelles le monde est confronté, les appels à une solidarité renforcée et à un multilatéralisme revitalisé se sont multipliés ce mardi, au deuxième jour de débat général de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières.
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) a ouvert son débat général ce lundi dans un contexte de « profondes incertitudes », a euphémisé sa Présidente Lachezara Stoeva, contexte encore assombri par la guerre en Ukraine et des perspectives de croissance mondiale orientées à la baisse.
La Commission économique et financière (Deuxième Commission) de l’Assemblée générale a entamé, ce matin, sa soixante-dix-septième session, approuvant l’ordre du jour et l’organisation des travaux d’une session dont la majorité des questions est axée sur la promotion d’une croissance économique soutenue et du développement durable.
La Représentante permanente de la Bulgarie, Mme Lachezara Stoeva, a été élue, le 7 juin 2022, Présidente de la Deuxième Commission (Questions économiques et financières) pour la soixante-dix-septième session de l’Assemblée générale de l’ONU.