Dans l’optique de se remettre sur les bons rails et d’accélérer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, l’Assemblée générale a entériné, cet après-midi, 38 des 41 résolutions proposées par sa Commission chargée des questions économiques et financières, ainsi que 2 décisions. L’Assemblée se prononcera sur les trois résolutions restantes lorsqu’elle aura examiné leurs implications budgétaires, après l’avis de la Cinquième Commission.
Deuxième Commission
Réunie aujourd’hui en séance plénière, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté ses 11 derniers projets de résolution et de décision, dont 6 à l’issue de votes sur le texte entier ou sur des propositions d’amendement, terminant ainsi ses travaux de la soixante-dix-septième session de l’Assemblée générale, qu’elle avait commencés le 29 septembre. Il faut retrouver les bons rails pour atteindre les objectifs de développement durable après deux ans de perturbations dues à la COVID-19, a encouragé M. Li Junhua, Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, qui est venu féliciter la Deuxième Commission et saluer les excellents résultats obtenus.
Les points examinés par la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui a adopté, ce mardi,16 projets de résolution dont 2 à l’issue d’un vote, ont eu trait aux grands sujets transversaux chers à la Commission, tels que le développement durable et l’environnement, l’élimination de la pauvreté et les pays en situation particulière, la réforme du système financier international et son corollaire, la dette.
Développement durable, mondialisation et interdépendance, élimination de la pauvreté, financement du développement: telles sont quelques-unes des thématiques abordées, cet après-midi, par la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, qui a adopté 14 nouveaux projets de résolution, dont deux par vote.
Réunie pour la première fois depuis la fin de ses débats de fond, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté, ce matin, les deux premiers projets de résolution de cette session, qui ont nécessité des votes enregistrés. Les deux textes ont fait l’objet de critiques de la part des États-Unis et d’Israël. La Commission a également entendu la déléguée du Pakistan, parlant au nom du Groupe des 77 et la Chine, présenter 32 projets de résolution sur lesquels les délégations travaillent encore.
La situation socioéconomique dans les Territoires palestiniens et le Golan syrien occupés qui ne fait qu’empirer, en conséquence de l’occupation israélienne et des politiques discriminatoires au profit des colons, conjuguées à la pandémie de COVID-19, a suscité condamnation et inquiétude parmi les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), ce matin.
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) s’est penchée, ce vendredi, sur le développement urbain ainsi que sur les activités opérationnelles de développement du système des Nations Unies. Comment canaliser l’urbanisme croissant, le rendre durable et compatible aux défis actuels sont parmi les questions qui ont été débattues en examinant la situation des villes qui, selon Chris Williams, Directeur du Bureau de New York d’ONU-Habitat, sont la clef de la réduction des crises et de la reprise. Qu’il s’agisse d’urgences sanitaires, de la crise climatique, de conflits ou de catastrophes, elles sont le lieu où démarrent les crises telles que la pandémie de COVID-19, et là où elles se résolvent. La manière dont les villes réagissent, se stabilisent et se régénèrent contribue au redressement national, a exposé l’expert, qui a recommandé de combattre en priorité « le sans-abrisme et le logement inadéquat ».
Les problèmes de développement des pays les moins avancés (PMA) et des pays en développement sans littoral (PDSL) sont une préoccupation majeure qui ne peut être ignorée par la communauté internationale, a lancé l’Éthiopie lors du débat de la Deuxième Commission (questions économiques et financières) consacré aux pays en situation particulière, cet après-midi. Qu’il s’agisse de la pandémie, des conflits ou des urgences climatiques, les PMA sont intrinsèquement et structurellement désavantagés pour faire face aux multiples crises actuelles, et, ce sont eux qui en portent le poids le plus lourd, a abondé le groupe représentant ces pays.
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) s’est penchée, ce mercredi, sur les questions d’élimination de la pauvreté, de développement agricole, de sécurité alimentaire et de nutrition.