Cette année, la célébration de la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien est « particulièrement douloureuse », les objectifs fondamentaux de vie dans la dignité et de justice pour les Palestiniens, notamment leur droit à l’autodétermination, paraissant « plus éloignés que jamais ». C’est en ces termes que la Vice-Secrétaire générale de l’ONU, Mme Amina J. Mohammed, qui s’exprimait au nom du Secrétaire général, a marqué la commémoration annuelle de cette Journée, observée le 29 novembre, mais que le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a choisi de marquer ce matin.
En cours au Siège de l'ONU
Comité pour les droits inaliénables du peuple palestinien
Plus d’un an après l’attaque du 7 octobre qui a déclenché l’un des conflits « les plus dévastateurs de notre époque » à Gaza, le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a fait le point, ce matin, sur les responsabilités juridiques internationales dans la prévention du génocide, nombre d’intervenants insistant sur les obligations qui incombent aux États et aux institutions internationales de mettre un terme à ce que plusieurs ont qualifié de « génocide » de la population gazaouite par Israël.
On trouvera ci-après la déclaration faite aujourd’hui par le Bureau du Comité de l’Assemblée générale pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien:
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien s’est réuni cet après-midi pour entendre un compte rendu de la Mission permanente d’observation de l’État de Palestine auprès de l’Organisation des Nations Unies. Il devait également examiner et adopter son projet de rapport annuel à l’Assemblée générale 2024 (document A/79/35), avant de parler de ses activités récentes et à venir.
Juriste de renommée internationale, M. Paul Reichler a fait le point, cet après-midi, devant le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien sur la demande d’avis consultatif de la Cour internationale de Justice (CIJ) sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques d’Israël dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est.
On trouvera ci-après la déclaration faite aujourd’hui par le Bureau du Comité de l’Assemblée générale pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien :
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien s’est réuni ce matin pour observer la Journée de la Nakba, qui commémore chaque 15 mai la « catastrophe » de 1948, à savoir l’exode forcé de leurs terres des populations palestiniennes. C’est la deuxième année consécutive que le Comité organise une séance à cette occasion.
Le Bureau du Comité de l’Assemblée générale des Nations Unies pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien s’est rendu à Trinité-et-Tobago du 22 au 23 avril 2024 pour défendre les droits des Palestiniens et a encouragé le Gouvernement à envisager de reconnaître l’État de Palestine.
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a terminé ce jour les travaux de la conférence internationale, entamée hier au Bureau des Nations Unies de Genève dans le but de « construire des ponts avec la société civile internationale pour faire face à la Nakba en cours ».
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien tient une conférence internationale au Bureau des Nations Unies de Genève les 3 et 4 avril, dans l’optique de « construire des ponts avec la société civile internationale pour faire face à la Nakba en cours », comme l’indique le thème de l’événement.