Avec cette année pour thème « Mesures novatrices pour assurer la réalisation des objectifs de développement durable dans les territoires non autonomes », le Séminaire régional pour le Pacifique du Comité spécial de la décolonisation –communément appelé C-24–, s’est tenu les 24, 25 et 26 mai, à Bali, en Indonésie.
Comité spécial de la décolonisation
L’édition 2023 du Séminaire régional pour le Pacifique du Comité spécial de la décolonisation, organe subsidiaire de l’Assemblée générale chargé d’étudier l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, se tiendra à Bali, en Indonésie.
Le Comité spécial de la décolonisation (Comité spécial des Vingt-Quatre) a commencé, ce matin, les préparatifs de son Séminaire régional pour le Pacifique, qui se tiendra cette année à Bali, en Indonésie, du 24 au 26 mai.
Le Comité spécial de la décolonisation (Comité spécial des Vingt-Quatre) a donné ce matin le coup d’envoi de sa nouvelle session, en procédant à l’élection de sa nouvelle Présidente, Mme Menissa Rambally, de Sainte-Lucie, et du reste de son bureau.
Ce matin, le Comité spécial de la décolonisation a achevé sa session de fond 2022 en adoptant, sans mise aux voix, ses 18 projets de résolution annuels. Il a aussi décidé d’envoyer, en coopération avec la France, Puissance administrante, une mission de visite en Nouvelle-Calédonie, à l’automne 2022. La Présidente du Comité, Mme Keisha McGuire, de la Grenade, a en outre annoncé que le Séminaire régional pour le Pacifique de 2023 se tiendra en Indonésie.
Le Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux (Comité spécial des Vingt-Quatre) a adopté sans mise aux voix, ce matin, un projet de résolution sur les Îles Falkland (Malvinas) qui demande aux gouvernements argentin et britannique de reprendre leurs négociations afin de trouver, dans les meilleurs délais, une solution pacifique au conflit de souveraineté sur le territoire.
Ce matin, le Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux (Comité spécial des Vingt-Quatre) s’est penché sur la question de Porto Rico, dans un contexte marqué par les prises de position autour du projet de loi du 18 mars 2021 sur l’autodétermination de Porto Rico, présenté au Congrès américain. Cette initiative prévoit notamment l’option pour Porto Rico de devenir le cinquante-et-unième État américain, permettant ainsi aux Portoricains vivant sur l’île de devenir des citoyens à part entière.
Le Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux (Comité spécial des Vingt-Quatre) a été alertée, ce matin, que la Nouvelle-Calédonie est entrée dans la phase la plus critique de son évolution politique en raison de l’important taux d’abstention lors du référendum du 12 décembre 2021.
Conseiller du Président du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, M. Charles Wea a prévenu que cette impasse politique et institutionnelle risque de compromettre la sortie du processus de décolonisation prévu par l’Accord de Nouméa. Selon lui, des difficultés sont notamment à prévoir lors de la reprise des discussions entre Paris et Nouméa, les partis indépendantistes ayant déclaré ne pas reconnaître la légitimité́ politique de cette consultation.
Le Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux (Comité spécial des Vingt-Quatre) a entamé aujourd’hui sa session de fond de 2022 avec une séance qui a été largement dominée par l’examen de la question du Sahara occidental.
Organisé sur le thème « La promotion des territoires non autonomes pendant la pandémie de COVID‑19 et au-delà », le Séminaire régional pour le Pacifique du Comité spécial de la décolonisation s’est tenu les 11, 12 et 13 mai, à Castries, à Sainte-Lucie, avec une représentation « historique » de 11 des 17 territoires non autonomes inscrits à la liste des Nations Unies.