Les projets adoptés aujourd’hui par la Deuxième Commission (questions économiques et financières) convergeaient vers la recommandation de solutions pour relancer les économies des États Membres, dans une perspective d’élimination de la pauvreté, de développement durable et de lutte pour la sauvegarde de l’environnement.
En cours au Siège de l'ONU
Deuxième Commission
L’examen, cet après-midi, par la Deuxième Commission chargée des questions économiques et financières, de la note* du Secrétaire général sur les « répercussions économiques et sociales de l’occupation israélienne sur les conditions de vie du peuple palestinien dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et de la population arabe du Golan syrien occupé », a conduit une douzaine de délégations à réclamer des dédommagements à Israël pour l’exploitation des ressources naturelles dans ces territoires.
Tout au long de l’histoire de l’ONU, certaines des réponses « les plus fortes, les plus cohérentes et les plus efficaces » aux crises mondiales ont été initiées dans les régions.
La pandémie de COVID-19 a une fois encore pesé sur les débats de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui avaient aujourd’hui pour objet le développement, la sécurité alimentaire et la nutrition.
La Deuxième Commission chargée des questions économiques et financières a examiné, ce matin, le rapport du Secrétaire général de l’ONU sur le Nouveau Programme pour les villes et le renforcement du Programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat), l’occasion pour les États Membres de souligner l’importance de soutenir financièrement l’organisme et d’appuyer son rôle dans le relèvement après la pandémie de COVID-19.
Les infrastructures durables, la science et les technologies constituent un « moteur puissant » pour parvenir à réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030, qui est en soi une « feuille de route pour reconstruire en mieux » après la pandémie de COVID-19.
La pandémie a porté un coup très dur aux efforts visant à l’élimination de la pauvreté, premier objectif de développement durable de l’ONU et premier des deux points de l’ordre du jour débattus cet après-midi par la Deuxième Commission (questions économiques et financières) qui a aussi traité de la question du tourisme éthique et achevé, ce matin, l’examen du chapitre « développement durable ».
Une crise sanitaire violente s’ajoutant à celle, profonde et irréversible, des changements climatiques. Ces deux menaces pesant sur le développement durable ont été débattues par la Deuxième Commission (questions économiques et financières), au premier jour du débat consacré au développement durable dans toutes ses dimensions. Les rapports présentés en début de séance, traitant de thèmes aussi divers que la désertification, le suivi des Orientations de Samoa, le renforcement du Cadre de Sendai sur la réduction des risques de catastrophe ou encore l’accès aux énergies ont montré combien la tâche était immense, et combien tous les thèmes étaient liés les uns aux autres.
En ce quatrième jour de débat général, les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières) ont réfléchi aux manières de transformer la situation critique actuelle en tremplin pour parvenir au développement durable.
Les répercussions économiques et sociales de la pandémie exacerbent les inégalités au sein des pays et entre les pays, ont prévenu les délégations, lors du troisième jour de débat général de la Deuxième Commission (questions économiques et financières). Pauvreté, inégalités : la COVID-19 a révélé au grand jour la vulnérabilité des pays en développement, s’attaquant au groupe des pays les moins avancés (PMA) de manière particulièrement brutale.