
Pour la dernière séance de travail de sa première session, la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord BBNJ* s’est réunie ce matin en plénière pour entendre ses coprésidents présenter le résumé des discussions.
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a poursuivi aujourd’hui ses travaux.
La Commission préparatoire doit poursuivre aujourd’hui ses travaux sur un éventail de questions, dont l’architecture du Centre d’échange créé par l’article 51 de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ).
Lancés le 14 avril dernier, les travaux de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord ont repris aujourd’hui.
Le Groupe de travail III de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) a réfléchi aujourd’hui au financement de la Conférence des Parties dès sa première réunion.
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a poursuivi aujourd’hui ses travaux de fond sur un éventail de questions.
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ)et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a examiné, ce matin, des « questions de gouvernance » ayant trait aux organes subsidiaires, puis, cet après-midi, les dispositions relatives au fonctionnement du secrétariat, y compris son siège.
Conformément à la résolution (A/RES/78/272) de l’Assemblée générale, la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord, dit « Accord BBNJ », a ouvert, ce matin au Siège de l’ONU à New York, les travaux de sa première session et ses discussions sur un vaste éventail de questions pratiques.
En marge du soixante-dix-huitième débat général des Nations Unies, 85 États et une organisation internationale ont entrepris un total de 102 actions lors de la Cérémonie annuelle des traités, qui s’est achevée aujourd’hui.
Le 22 janvier 2024, au Siège de l’Organisation des Nations Unies, le Représentant permanent des Palaos a transmis au Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et Conseiller juridique de l’ONU l’instrument de ratification par les Palaos de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.