La pandémie de COVID-19 a mis en évidence et renforcé les inégalités, ont remarqué, ce matin, nombre de délégations de la Deuxième Commission, lors de la deuxième séance du débat général sur le thème « Crise, résilience et reprise - Accélérer les progrès vers le Programme 2030 ».
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a poursuivi cet après-midi l’examen des mesures visant à éliminer le terrorisme international.
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué, aujourd’hui, avec plusieurs titulaires de mandat au sujet de l’état du développement social, l’occasion pour le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales de préconiser un renouvellement du « contrat social » pour parvenir à un avenir plus juste dans un monde où plus de 100 millions de personnes supplémentaires ont basculé dans la pauvreté en 2020, notamment dans les zones rurales.
Cette soixante-seizième session sera « unique », a d’emblée prévenu la Présidente de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), Mme Vanessa Frazier, à l’ouverture du débat général. Unique, parce que pour la première fois dans l’histoire de l’ONU, la Deuxième Commission est guidée par un Bureau exclusivement féminin. Unique, car bien que la pandémie influence encore cette année les travaux de la Commission sur la forme et le fond, des vaccins efficaces existent désormais, et la communauté internationale, à la croisée des chemins, doit agir vite et de concert.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a entamé, ce matin, son programme de travail qui sera marqué par la tenue de 33 réunions jusqu’au 18 novembre, date prévue pour la dernière réunion de cette soixante-seizième session. Pandémie oblige, les consultations relatives aux projets de résolution se tiendront de manière virtuelle, tandis que les réunions en séance plénière se dérouleront, elles, en présentiel.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a achevé, aujourd’hui, son débat sur la question qui s’annonce controversée de la modification du barème des quotes-parts du budget ordinaire et des opérations de paix de l’ONU, pour la période allant de 2022 à 2024.
La deuxième journée du débat général de la Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a été dominée d’une part par les aspects du désarmement nucléaire, d’autre part par diverses questions relatives aux armes conventionnelles. Plusieurs des 26 délégations nationales qui ont pris la parole ont en outre mis en avant les conséquences néfastes de la pandémie, occasion de s’indigner encore plus du montant de dépenses d’armement dans un monde où la crise sanitaire a aggravé la pauvreté.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué, aujourd’hui, avec la Directrice exécutive adjointe d’ONU-Femmes et trois titulaires de mandats spéciaux sur le thème de la promotion des femmes, l’occasion pour les intervenantes d’attirer l’attention des délégations sur la nette détérioration de la condition féminine durant la pandémie de COVID-19 et de se soucier du sort des femmes et des filles vivant en situation d’urgence, notamment en Afghanistan, où les droits acquis ces dernières années sont menacés d’inversion.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a adopté aujourd’hui son programme de travail* marqué par la question « cruciale », selon les mots de la Jamaïque, de la modification du barème des quotes-parts du budget ordinaire et des opérations de paix de l’ONU, pour la période allant de 2022 à 2024. Le principe de la capacité de payer a été mis en avant par plusieurs délégations.
Une fois n’est pas coutume, c’est par un vibrant plaidoyer du Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), M. Philippe Lazzarini, que la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a donné le coup d’envoi de ses travaux de fonds de la présente session.