La Première Commission chargée du désarmement et de la sécurité internationale a entamé ce matin son débat thématique consacré aux armes de destruction massive, au cours duquel elle a entendu 19 délégations qui ont toutes exprimé leur rejet de ce type d’armes. La communauté internationale devait tirer des leçons des deux guerres mondiales qui ont fait des millions de morts, causés notamment par des armes chimiques, a estimé la représentante du Qatar.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Les délégations qui se sont exprimées aujourd’hui devant la Commission économique et financière (Deuxième Commission) au cours du débat consacré aux groupes de pays en situation particulière ont souligné qu’il est indispensable que la communauté internationale accorde plus d’attention aux difficultés économiques, financières et commerciales que rencontrent les pays les moins avancés (PMA), les petits États insulaires en développement (PEID) et les pays en développement sans littoral.
Après avoir adopté deux projets de résolution sur la question de Gibraltar et la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, la Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a achevé son débat sur les questions relatives à l’information au cours duquel la question du multilinguisme a, encore une fois, dominé. Le « Groupe des Amis de la langue espagnole au sein des Nations Unies » a demandé des solutions novatrices pour parvenir au multilinguisme dans la production du Département de l’information de l’ONU (DPI).
Les délégations de la Troisième Commission se sont livrées, aujourd’hui, à un débat intense avec pas moins de sept rapporteurs spéciaux des droits de l’homme, traitant de questions telles que celles sur la liberté d’expression des enfants, la liberté de religion ou les répercussions liées à la surveillance numérique, cette dernière, ont souligné certaines, étant de nature à présenter un risque pour la sécurité des États.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a adopté aujourd’hui, sans vote, deux projets de résolution qui ouvrent la voie à l’octroi du statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale à deux organisations internationales: l’Organisation de coopération économique du groupe de huit pays en développement (le D-8) et la Communauté du Pacifique. Les candidatures du D-8 et de la Communauté du Pacifique avaient été examinées et discutées le 14 octobre.
La Première Commission chargée du désarmement et de la sécurité internationale a poursuivi ce matin son débat thématique sur les armes conventionnelles en entendant 26 délégations. L’occasion pour la majorité d’entre elles de se féliciter de la rapidité du processus de ratification du Traité sur le commerce des armes qui permettra son entrée en vigueur dès le mois de décembre prochain.
Le système commercial multilatéral devrait être « universel, basé sur des règles, ouvert, non discriminatoire, inclusif et équitable », ont déclaré aujourd’hui les représentants des pays en développement. Ces caractéristiques, qu’était censé promouvoir et respecter le Cycle de négociations commerciales de l’OMC de Doha, dit « Cycle du développement », ont été rappelées ce matin par des délégations de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) à leurs homologues représentant des pays industrialisés, alors que la Commission débattait des liens existant entre le commerce international et le développement.
Les infractions graves commises par des fonctionnaires et experts en mission des Nations Unies sont non seulement très préjudiciables pour les victimes, mais également pour l’image et la crédibilité de l’Organisation, ont rappelé ce matin plusieurs délégations devant la Sixième Commission (chargée des questions juridiques), qui examinait la question de la responsabilité pénale de cette catégorie de personnes.
La plupart des délégations qui se sont exprimées, cet après-midi, devant la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission), ont appelé les Nations Unies à renforcer le multilinguisme et la parité entre les six langues officielles dans le cadre des activités de l’Organisation.
Une année « à impact dévastateur sur les droits de l’homme ». Le nouveau Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, M. Zeid Ra’ad Al-Hussein, a, devant la Troisième Commission, présenté un tableau très sombre de la situation au cours de la période 2013-2014, marquée par « les boucheries en Syrie et leurs retombées qui ont déclenché une nouvelle vague de barbaries en Iraq », le « conflit déplorable en Ukraine », le « bain de sang évitable au Soudan du Sud », ainsi que « l’émergence et la propagation de la maladie à virus Ebola ».