L’examen ce matin par la Sixième Commission (Commission des questions juridiques) du Programme d’assistance des Nations Unies aux fins de l’enseignement, de l’étude, de la diffusion et d’une compréhension plus large du droit international, a été l’occasion pour les différents intervenants de se féliciter de l’imputation en 2016 et 2017 du coût des bourses de perfectionnement en droit international et des cours régionaux de droit international du Programme sur le budget ordinaire de l’Organisation.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
La question du multilinguisme est traitée avec « détermination » au sein du Département de l’information (DPI), a affirmé aujourd’hui la Secrétaire générale adjointe à la communication et à l’information, Mme Cristina Gallach, en réponse aux nombreuses «ºinquiétudesº» formulées par les délégations présentes au débat sur les questions relatives à l’information de la Quatrième Commission.
Au troisième jour, aujourd’hui, du débat général de la Troisième Commission consacré à la protection et à la promotion des droits de l’enfant, les États Membres ont souligné toute l’importance du Programme de développement durable à l’horizon 2030 pour garantir aux enfants, dont beaucoup continuent d’être exposés à des abus et à des violations graves, un monde propice à leur épanouissement.
Si le Comité spécial de la Charte des Nations Unies et du raffermissement du rôle de l’Organisation, a bien rempli son mandat dans un premier temps, force est de constater qu’il ne joue plus son rôle depuis quelques années: c’est le constat amer dressé aujourd’hui à l’occasion de l’examen du rapport du Comité devant la Sixième Commission (Commission des questions juridiques) par de nombreuses délégations, membres du Mouvement des pays non alignés et du Groupe des États d’Afrique, tandis que les représentants occidentaux se montraient plus sévères encore.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a débattu, cette après-midi, de l’interdiction des armes nucléaires. La séance a fait paraître de profondes divergences de vues quant à l’approche à privilégier pour créer un monde sans armes nucléaires, l’un des objectifs les plus anciens à l’ordre du jour de l’Assemblée générale.
Le contexte économique international défavorable, le manque d’investissements étrangers directs et les inégalités entre les sexes continuent d’entraver les progrès du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), 15 ans après son adoption, ont noté ce matin les délégations à l’Assemblée générale.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a débattu ce matin de la situation financière des Nations Unies, dont des arriérés importants qui ont fait chuter le niveau des liquidités au seuil critique de 7 millions de dollars, conduisant les délégations à appeler l’ONU à la discipline budgétaire. La Commission a aussi évalué les progrès réalisés dans la mise en œuvre des Normes comptables internationales pour le secteur public (IPSAS).
Dans les situations de conflit armé, s’ils survivent, les enfants sont particulièrement exposés au risque d’être vendus aux fins de travail forcé, a souligné ce matin, devant la Troisième Commission, la Rapporteuse spéciale du Conseil des droits de l’homme sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants, Mme Maud de Boer-Buquicchio.
La Sixième Commission a poursuivi cet après-midi son examen de la question de la portée et application du principe de compétence universelle et les déclarations faites ont confirmé les divergences exprimées lundi concernant la définition, le statut juridique, la portée et les conditions de l’application du principe. Plusieurs délégations ont mis en avant des options qui permettent de contourner la difficulté, comme l’intégration en droit interne des traités internationaux ou l’entraide judiciaire.
Les technologies de l’information et des communications (TIC) peuvent jouer un rôle majeur dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, ont estimé, cet après-midi, de nombreux intervenants devant la Commission économique et financière (Deuxième Commission), au cours de son débat sur « les technologies de l’information et des communications au service du développement ».