Plénière


AG/12436

L’Assemblée générale a débattu aujourd’hui de l’utilisation par la Fédération de Russie de son veto, le 8 juillet dernier, au Conseil de sécurité, pour s’opposer à un projet de résolution coparrainé par l’Irlande et la Norvège visant à prolonger de 12 mois le mécanisme d’acheminement de l’aide humanitaire transfrontalière en Syrie.

AG/12433

L’Assemblée générale a conclu cet après-midi sa première réunion de haut niveau consacrée à l’amélioration de la sécurité routière dans le monde, sur le thème « La sécurité routière à l’horizon 2030: garantir une décennie d’action et de réalisations ».  À cette occasion, l’Assemblée a adopté dès hier une Déclaration politique par laquelle elle décide de convoquer une nouvelle réunion de haut niveau sur l’amélioration de la sécurité routière dans le monde, en 2026, à New York.

 AG/12432

L’Assemblée générale a ouvert aujourd’hui sa toute première réunion de haut niveau consacrée à l’amélioration de la sécurité routière dans le monde, sur le thème « La sécurité routière à l’horizon 2030: garantir une décennie d’action et de réalisations », en adoptant une Déclaration politique et en lançant un appel à la mobilisation pour sauver des vies.  En début de séance, l’Assemblée a observé une minute de silence à la mémoire des milliers de vies perdues chaque année dans les accidents de la route.

AG/12430

L’Assemblée générale a terminé ce matin son débat, entamé hier, sur la question intitulée « La responsabilité de protéger et la prévention du génocide, des crimes de guerre, du nettoyage ethnique et des crimes contre l’humanité ».  Signe de la controverse qui entoure cet engagement depuis 2005, une quinzaine de délégations se sont succédé à la tribune pour juger insuffisantes les mesures mises en place pour institutionnaliser ce concept ou au contraire dénoncer un « instrument d'ingérence dans les affaires intérieures » des États.

AG/12429

Le débat 2022 de l’Assemblée générale sur la responsabilité de protéger, centré cette année sur les enfants et les jeunes victimes, a donné lieu à des échanges vigoureux entre les États Membres, illustrant le consensus fragile qui perdure depuis près de 20 ans entre les délégations quant à son interprétation et sa portée.  Dans le Document final du Sommet mondial de 2005, les États Membres ont reconnu que chaque État avait la responsabilité de protéger ses populations contre les atrocités criminelles, à savoir le génocide, les crimes de guerre, le nettoyage ethnique et les crimes contre l’humanité.