La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi aujourd’hui le volet de son débat thématique consacré aux armes classiques. Au milieu des appels à la lutte contre le trafic illicite d’armes légères et de petit calibre, des réflexions sur la neutralité du Traité sur le commerce des armes, des appels à l’universalisation de la Convention d’Ottawa sur les mines antipersonnel ou encore de la dénonciation du recours par la Russie à des armes à sous-munitions interdites en Ukraine, de nombreuses délégations sont aussi préoccupées d’une part du manque d’encadrement actuel des systèmes d’armes létaux autonomes (SALA).
En cours au Siège de l'ONU
Première Commission
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée, ce matin, sur le lien entre le droit international humanitaire et l’utilisation de certaines armes classiques. La vingtaine de délégations qui sont intervenues à l’occasion du volet du débat thématique consacré à ces armes ont réaffirmé leur attachement à la réalisation des objectifs de la Convention sur certaines armes classiques (CCAC).
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé ce matin le volet de son débat thématique sur les armes classiques. Elle a toutefois encore consacré l’essentiel de sa séance à la question des « autres armes de destruction massive », dont elle avait entamé l’examen hier, occasion pour de nombreuses délégations de souligner l’importance de régimes de vérification contraignants pour s’assurer sur le respect de la mise en œuvre tant de la Convention sur les armes biologiques que de la Convention sur les armes chimiques.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, aujourd’hui, son débat thématique. Après avoir poursuivi et achevé son volet consacré aux armes nucléaires, elle s’est penchée sur les autres armes de destruction massive (ADM).
Lors de la deuxième journée consacrée par la Première Commission (désarmement et de sécurité internationale) à la thématique des armes nucléaires, plusieurs d’États dotés de telles armes ont aujourd’hui pris la parole pour défendre leur choix, toujours dans un but défensif selon eux, pour vanter leurs efforts en vue du désarmement nucléaire et pour se rejeter la responsabilité des tensions nucléaires actuelles.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, cet après-midi, son débat thématique, en commençant par le volet consacré aux armes nucléaires. Les délégations ont réaffirmé leur attachement au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) qui, comme l’a dit le Canada, « continue de nous unir » malgré l’échec de la dixième Conférence d’examen.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale, a apporté cet après-midi sa contribution à la réflexion sur la revitalisation des travaux de l’Assemblée générale et la planification des programmes.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé son débat général, aujourd’hui, en soulignant l’importance que le renforcement du régime de non-prolifération bénéficie aux pays en développement.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, cet après-midi, son débat général. De nombreux intervenants ont estimé que les zones exemptes d’armes nucléaires (ZEAN) représentent les mesures le plus concrètes et le meilleur moyen de progresser en matière de désarmement et non-prolifération nucléaire.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, cet après-midi, son débat général en entendant des États dotés officiellement ou non d’armes nucléaires défendre leurs actions et doctrines de sécurité dans un contexte de défiance croissante à l’égard de ces arsenaux.