L’humanité semble devenue dépendante de l’espace extra-atmosphérique de manière irréversible. Dans un contexte de révolutions technologiques, de privatisation de l’accès à l’espace -plus de 5 000 satellites, principalement à usage commercial, flottent aujourd’hui en orbite autour de la Terre- l’ONU estime urgent d’actualiser les régimes de gouvernance et de réglementation de l’espace extra-atmosphérique.
En cours au Siège de l'ONU
Première Commission
La Première Commission a achevé cet après-midi son débat thématique par l’examen du dernier volet de celui-ci, consacré au mécanisme pour le désarmement. Les délégations ont reconnu la nécessité que la Conférence du désarmement redevienne une instance capable d’organiser la négociation de traités multilatéraux efficaces.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu, cet après-midi, les délégations avancer leurs propositions pour empêcher la militarisation de l’espace extra-atmosphérique afin d’en réserver l’exploitation des ressources à des fins pacifiques.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a examiné, aujourd’hui, les activités régionales du désarmement onusien et la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive à ce niveau, avant de se pencher sur l’efficacité des mesures pour renforcer la confiance régionale et empêcher la militarisation de l’espace.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a débattu, aujourd’hui, des voies à suivre pour renforcer la cybersécurité. Deux projets de résolution concurrents, qui seront présentés prochainement, ont rallié d’un côté les pays occidentaux et leurs alliés, y compris l’Ukraine et la République de Corée, et, de l’autre, la Russie et de nombreux pays en développement.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi aujourd’hui le volet de son débat thématique consacré aux armes classiques. Au milieu des appels à la lutte contre le trafic illicite d’armes légères et de petit calibre, des réflexions sur la neutralité du Traité sur le commerce des armes, des appels à l’universalisation de la Convention d’Ottawa sur les mines antipersonnel ou encore de la dénonciation du recours par la Russie à des armes à sous-munitions interdites en Ukraine, de nombreuses délégations sont aussi préoccupées d’une part du manque d’encadrement actuel des systèmes d’armes létaux autonomes (SALA).
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée, ce matin, sur le lien entre le droit international humanitaire et l’utilisation de certaines armes classiques. La vingtaine de délégations qui sont intervenues à l’occasion du volet du débat thématique consacré à ces armes ont réaffirmé leur attachement à la réalisation des objectifs de la Convention sur certaines armes classiques (CCAC).
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé ce matin le volet de son débat thématique sur les armes classiques. Elle a toutefois encore consacré l’essentiel de sa séance à la question des « autres armes de destruction massive », dont elle avait entamé l’examen hier, occasion pour de nombreuses délégations de souligner l’importance de régimes de vérification contraignants pour s’assurer sur le respect de la mise en œuvre tant de la Convention sur les armes biologiques que de la Convention sur les armes chimiques.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, aujourd’hui, son débat thématique. Après avoir poursuivi et achevé son volet consacré aux armes nucléaires, elle s’est penchée sur les autres armes de destruction massive (ADM).
Lors de la deuxième journée consacrée par la Première Commission (désarmement et de sécurité internationale) à la thématique des armes nucléaires, plusieurs d’États dotés de telles armes ont aujourd’hui pris la parole pour défendre leur choix, toujours dans un but défensif selon eux, pour vanter leurs efforts en vue du désarmement nucléaire et pour se rejeter la responsabilité des tensions nucléaires actuelles.