De nombreux pétitionnaires ont, cet après-midi, confronté leurs visions contrastées de l’avenir du Sahara occidental, l’un des 17 territoires non autonomes inscrits à l’ordre du jour de la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation. La plupart de ceux qui sont intervenus lors de cette séance, au deuxième jour des auditions, ont pris fait et cause pour le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, tandis qu’en fin de séance, d’autres ont défendu le plan d’autonomie marocain.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Le constat partagé par les experts et les délégations de la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui a étudié, ce jeudi, les questions de politique macroéconomique, a été clair: les règles du système financier international sont devenues obsolètes et doivent absolument être réformées si le monde veut conserver une chance d’atteindre un jour tout ou partie des objectifs de développement durable (ODD).
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, ce matin, son débat général. Les délégations ont attiré l’attention sur plusieurs situations régionales dans lesquelles sont bafouées les obligations internationales des États en matière de sécurité et de sûreté nucléaires, ainsi que de non-prolifération. Ont ainsi été citées la péninsule coréenne, l’Ukraine et l’Arménie. L’efficacité des zones exemptes d’armes nucléaires (ZEAN) a été soulignée, ainsi que la nécessité d’intensifier le contrôle des armes classiques et de conduire jusqu’à leur terme les programmes antimines conduits sous l’égide de l’ONU.
La Sixième Commission a terminé aujourd’hui son débat, entamé hier, sur les mesures visant à éliminer le terrorisme international. Un total de 80 délégations ont saisi cette opportunité pour présenter leurs actions et appeler au renforcement de la coopération internationale pour lutter contre ce fléau.
M. Csaba Kőrösi, Président de l’Assemblée générale, en visite à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, a présenté cet après-midi trois requêtes qui, selon lui, permettront à l’ONU d’obtenir des résultats concrets.
Cet après-midi, la Quatrième Commission (chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation) a débuté les traditionnelles auditions de pétitionnaires venus faire entendre leurs voix au sujet de la Polynésie française, de Gibraltar et de la Nouvelle-Calédonie, 3 des 17 territoires non autonomes figurant sur la liste établie par l’ONU.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a dialogué, aujourd’hui, avec la Directrice exécutive adjointe d’ONU-Femmes et quatre titulaires de mandat sur le thème de la promotion des femmes. Tour à tour, les cinq intervenantes ont alerté sur la hausse des violences faites aux femmes en ligne, le recul de leurs droits sexuels et reproductifs et leur vulnérabilité accrue face aux changements climatiques, tout en rappelant les conséquences néfastes de la pandémie.
Face à la gravité des situations sans précédent auxquelles le monde est confronté, les appels à une solidarité renforcée et à un multilatéralisme revitalisé se sont multipliés ce mardi, au deuxième jour de débat général de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières.
À l’occasion du deuxième jour de son débat général, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu le Président de l’Assemblée générale, M. Csaba Kőrösi, qui l’a exhortée à jouer son rôle de chef de file en matière de désarmement et à régler les problèmes les plus pressants « dans l’intérêt de la survie de l’humanité ».
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a examiné aujourd’hui la prévention du crime et la justice pénale, la lutte contre la cybercriminalité et le contrôle international des drogues, l’occasion pour la Directrice du Bureau de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) à New York de regretter que la situation globale sur ces questions se soit « considérablement détériorée » en raison de la pandémie de COVID-19 et que les budgets dédiés soient à la baisse.