Organisée ce matin en marge du débat général de la Conférence du l’océan qui se tient à Nice, en France, jusqu’au 13 juin, cette table ronde s’est focalisée sur le fait que l’océan, le climat et la biodiversité sont fortement interconnectés et affectés par trois crises planétaires –le déclin de la santé des océans, les changements climatiques et la perte de biodiversité– qui se renforcent mutuellement, mais qui sont encore trop souvent abordées séparément.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Gravement préoccupée par la situation humanitaire « catastrophique » qui règne actuellement dans la bande de Gaza, l’Assemblée générale a repris sa dixième session extraordinaire d’urgence pour adopter, par 149 voix pour, 12 voix contre -dont celles des États et d’Israël- et 19 abstentions, une résolution exigeant un cessez-le-feu à Gaza et la garantie que l’aide parvienne immédiatement et en quantité suffisante à la population civile palestinienne.
Au troisième jour de sa session de fond 2025, le Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux a entendu un pétitionnaire sur la question de Gibraltar.
Comment les gouvernements peuvent-ils intégrer des initiatives en faveur d’une économie océanique durable dans leurs cadres juridiques et institutionnels de gouvernance de l’océan? Comment les pays en développement, en particulier les petits États insulaires en développement (PEID) et les pays les moins avancés (PMA), peuvent-ils accéder aux ressources, aux financements et aux technologies nécessaires à une économie océanique durable et résiliente?
La Conférence sur l’océan a tenu, ce matin à Nice, sa cinquième table ronde, l’occasion de débattre de la gestion durable des pêches et des systèmes alimentaires aquatiques, essentielle pour préserver l’environnement marin mais aussi pour lutter contre la faim, la malnutrition et la pauvreté.
Au troisième jour du débat général de la troisième Conférence sur l’océan, qui se tient à Nice, en France, jusqu’au 13 juin, c’est un appel à l’action et un sentiment d’urgence qui ont dominé les interventions face à un monde aux prises avec de multiples défis planétaires dont l’océan est à la fois victime et solution.
L’Assemblée générale a débattu ce matin du rapport annuel du Conseil de sécurité concernant ses activités en 2024. >
Plus de 40 États Membres et une vingtaine de pétitionnaires sont intervenus sur la question du Sahara occidental inscrite à l’ordre du jour du Comité spécial de la décolonisation, qui a entamé hier sa session de fond annuelle.
Organisée ce matin, la troisième table ronde de la Conférence sur l’océan s’est concentrée sur un paradoxe: malgré son immense valeur, l’océan reste sous-estimé et sous-financé. Il s’agit pourtant d’un pilier de la santé planétaire qui absorbe 30% des émissions mondiales de gaz à effet de serre et fournit des services écosystémiques essentiels comme la séquestration du carbone, la production d’oxygène et la protection des côtes.
« Au moment où je terminerai mon discours aujourd’hui, environ cinq camions poubelles supplémentaires remplis de plastique auront été déversés dans l’océan. » C’est en ces termes que la Présidente-Directrice générale de Ocean Conservancy, Mme Janis Searles Jones, a transmis l’urgence liée aux solutions à la pollution plastique, à l’occasion de la quatrième table ronde de la Conférence sur l’océan qui se tient à Nice, en France, jusqu’au 13 juin.