Le Président de l’Assemblée générale a lancé les discussions, ce matin, sur le « dossier crucial » de la revitalisation des travaux de cet organe, à « un moment historique » où l’on remet de plus en plus souvent en question la pertinence de l’ONU, voire de son existence.
En cours au Siège de l'ONU
Plénière
L’Assemblée générale a élu, ce matin, cinq juges à la Cour internationale de Justice (CIJ), pour un mandat de neuf ans qui prendra effet le 6 février 2024
L’Assemblée réunie en plénière a salué, aujourd’hui, le rôle de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) en faveur d’une énergie nucléaire plus efficace, plus sûre et avantageuse pour toute l’humanité.
L’Assemblée générale a achevé ce matin ses débats annuels consacrés aux rapports du Conseil des droits de l’homme (CDH) et de la Cour internationale de Justice (CIJ), entamés fin octobre, l’occasion pour les différentes délégations de réaffirmer leur soutien aux deux organes onusiens, certaines insistant, toutefois, sur la nécessité de les distancier des « batailles politiques ».
Les éloges n’ont pas manqué, aujourd’hui, lors de la reprise du débat de l’Assemblée générale consacré à la Cour internationale de Justice (CIJ), entamé le 26 octobre avec la présentation du rapport annuel des activités de la Cour par sa Présidente, Mme Joan Donoghue. De fait, a argué le Sénégal, « il est de la responsabilité de tous les États Membres de faire régner la force du droit et non le droit de la force ».
Alors qu’une offensive terrestre d’Israël est en cours à Gaza, où la situation humanitaire s’aggrave de jour en jour, l’Assemblée générale a conclu cet après-midi la reprise de sa dixième session extraordinaire d’urgence, consacrée aux mesures illégales prises par les autorités israéliennes dans les territoires palestiniens occupés.
L’Assemblée générale a adopté, ce matin, « pour la trente et unième année consécutive », comme l’ont souligné les Philippines, sa résolution annuelle portant sur la « nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis d’Amérique ».
La tragédie qui se déroule « sous nos yeux » au Moyen-Orient ne s’est pas créée ex nihilo, ont fait valoir, aujourd’hui, à l’Assemblée générale, un grand nombre de délégations qui ont voulu placer leurs espoirs dans la médiation pour faire cesser ce « bain de sang ».
C’était presque dans un même souffle qu’une quarantaine d’États Membres et de groupes d’États ont demandé, ce matin, aux États-Unis, de lever leur blocus économique, commercial et financier imposé depuis 60 ans à Cuba.
Le Président du Conseil des droits de l’homme (CDH) s’est félicité, ce matin devant l’Assemblée générale, de l’importance croissante que les États et la société civile accordent au CDH pour aborder les problèmes des droits humains dans le monde