La Commission chargée des questions économiques et sociales (Deuxième Commission) a tenu, ce matin, une séance conjointe avec le Conseil économique et social (ECOSOC) pour discuter, avec plusieurs experts, des « Flux financiers illicites et du financement du développement en Afrique ». Plusieurs pistes ont ainsi été envisagées pour répondre à un problème qui entraîne, chaque année, 50 milliards de dollars de pertes pour ce continent et entrave considérablement son développement.
En cours au Siège de l'ONU
Deuxième Commission
Près d’une centaine de délégations ont pris la parole au cours des deux jours de débat qu'a tenu la Commission économique et financière (Deuxième Commission) sur le « développement durable » pour partager, à la fois leurs espoirs et leurs craintes après l’adoption du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
La quinzaine de rapports sur le développement durable présentés, ce matin, à l’ouverture du débat de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) sur ce thème, illustrent l’étendue de ce sujet et l’ampleur de la tâche à accomplir pour atteindre les objectifs de développement durable adoptés par les dirigeants mondiaux au Siège de l’ONU à New York, il y a un mois.
Au cours du débat de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) sur la « mondialisation et l’interdépendance », de nombreuses délégations, dont celle du Maroc, ont appelé à ce que la mondialisation devienne plus humaine et soit marquée par la solidarité internationale, dans le contexte de la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
« Éliminer la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde » est l’objectif numéro un que se sont fixé les dirigeants mondiaux, le mois dernier, en adoptant le Programme de développement durable à l’horizon 2030. C’est dans ce contexte et dans celui de la « deuxième Décennie des Nations Unies pour l’élimination de la pauvreté (2008-2017) » que plus de 50 délégations ont pris la parole, aujourd’hui à la Commission économique et financière (Deuxième Commission), pour expliquer comment il serait possible de relever ce défi au cours des quinze prochaines années.
La Commission économique et financière (Deuxième Commission) a entendu, aujourd’hui, de nombreux appels en faveur du renforcement du système de développement des Nations Unies, afin de le rendre plus efficace dans l’optique de la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
En ce deuxième jour de son débat général, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a entendu, aujourd’hui, de nombreuses délégations plaider pour que la question de « la mise en œuvre des objectifs de développement durable » soit désormais au centre de ses travaux.
À l’ouverture du débat général de la Deuxième Commission, ce matin, le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Wu Hongbo, a rappelé que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 qui vient d’être adopté, le 25 septembre 2015, s’inscrit dans la continuité des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Mais c’est aussi « le début d’une nouvelle ère », a-t-il dit en espérant, comme la trentaine de délégations qui ont pris la parole, une véritable transformation au cours des 15 prochaines années.
Le Représentant permanent de la Slovénie auprès des Nations Unies,M. Andrej Logar, a été élu Président de la Deuxième Commission (Questions économiques et financières) le 15 juin 2015.
La Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, s’est réunie cet après-midi pour compléter son Bureau et organiser une session qui se tiendra sous la présidence de M. Andrej Logar, de la Slovénie. Les travaux devant se tenir du 7 octobre au 25 novembre, le Président de la Commission a appelé ses collègues à une grande discipline pour respecter les délais prévus pour la négociation et la présentation des textes à adopter. Il leur a aussi suggéré de soumettre des idées créatives pour rationaliser le travail de la Commission.