« Un Moyen-Orient sans armes de destruction massive rendrait le monde plus sûr », a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, M. António Guterres, lors de l’ouverture, ce matin au Siège de l’Organisation des Nations Unies à New York, de la deuxième session de la Conférence sur la création au Moyen-Orientd’une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Observée tous les 29 novembre, la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien a été, cette année encore, l’occasion pour de nombreux intervenants de déplorer l’impasse dans laquelle se trouve la solution des deux États, dont la viabilité paraît menacée par l’expansion continue des colonies israéliennes de peuplement, y compris à Jérusalem-Est.
Avant d’achever ses débats sur le rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et la réforme du Conseil de sécurité, l’Assemblée générale a décidé*, aujourd’hui, par consensus d’accorder au Bangladesh, au Népal et à la République démocratique populaire lao, « à titre exceptionnel », une période préparatoire de cinq ans conduisant à leur retrait de la catégorie des pays les moins avancés (PMA).
Après avoir adopté, hier, une Déclaration politique dans laquelle ils ont « manifesté leur ferme volonté politique d’agir résolument et de concert pour mettre fin au crime odieux » de la traite des personnes, les délégations ont, aujourd’hui, décrit les différentes facettes de ce fléau, y compris comme l’a dit la Pologne, « l’instrumentalisation de la migration » par le Bélarus.
Réunie aujourd’hui en séance plénière, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté ses 17 derniers projets de résolution et de décision, dont 6 à l’issue d’un vote, terminant ainsi ses travaux de la soixante-seizième session de l’Assemblée générale, qu’elle avait commencés le 1er octobre.
« Nous, États Membres de l’ONU, réaffirmons le Plan d’action mondial des Nations Unies pour la lutte contre la traite des personnes et manifestons notre ferme volonté politique d’agir résolument et de concert pour mettre fin à ce crime odieux. » C’est par ces mots que les États Membres commencent leur « Déclaration politique de 2021 sur l’application du Plan » adoptée par consensus à la réunion de haut niveau que l’Assemblée générale a tenue aujourd’hui.
La Deuxième Commission (questions économiques et financières) réunie en plénière ce matin a adopté 12 projets de résolution, dont 10 par consensus. Ces textes font la part belle au développement durable, aux questions de politiques macroéconomiques et au développement agricole, ainsi qu’à l’élimination de la pauvreté et aux groupes de pays en situation particulière que sont les pays en développement sans littoral.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a mis aujourd’hui un point final aux travaux de sa soixante-seizième session en entérinant ses neuf derniers projets de résolution, dont trois abordent les retombées de la crise sanitaire actuelle sur la jouissance des droits humains par tous.
Après d’intenses négociations, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté, cet après-midi, les neuf premiers projets de résolution de cette session, dont trois à l’issue d’un vote.
Au terme de sa soixante-seizième session, entamée le 4 octobre, et marquée tout de même par les circonstances « extrêmement difficiles » imposées par la pandémie de COVID-19, comme l’a reconnu sa Présidente, Mme Alya Ahmed Saif Al-Thani, la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a adopté ce matin, sans vote et dans l’esprit de consensus qui prévaut en son sein, 15 projets de résolution et un projet de décision.