La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a conclu, ce matin, son débat sur le droit des aquifères transfrontières et entendu plus d’une vingtaine de délégations redire leur attachement au Programme d’assistance des Nations Unies aux fins de l’enseignement, de l’étude, de la diffusion et d’une compréhension plus large du droit international.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, ses échanges sur la promotion et la protection des droits de l’homme en dialoguant avec six rapporteurs et experts qui ont appelé à prendre en compte des droits oubliés, tels que les droits des minorités ou les droits culturels des populations locale.
Au deuxième jour de son débat général sur les questions relatives à l’information, la Quatrième Commission (chargée des questions politiques spéciales et de décolonisation) a, cet après-midi, entendu plusieurs délégations plaider pour le respect du multilinguisme dans les activités du Département de la communication globale (DCG), notamment pour mieux contribuer à la réussite des opérations de maintien de la paix des Nations Unies.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée, ce matin, sur le lien entre le droit international humanitaire et l’utilisation de certaines armes classiques. La vingtaine de délégations qui sont intervenues à l’occasion du volet du débat thématique consacré à ces armes ont réaffirmé leur attachement à la réalisation des objectifs de la Convention sur certaines armes classiques (CCAC).
Le Président du Conseil économique et social (ECOSOC) a déclaré ce matin, devant l’Assemblée générale, que face aux défis économiques, sociaux et environnementaux urgents, les mandats confiés par la Charte des Nations Unies à l’organe qu’il dirige sont plus importants que jamais.
Après avoir terminé, cet après-midi, l’examen de mesures propres à renforcer la protection et la sécurité des missions et des représentants diplomatiques et consulaires, la Sixième Commission (questions juridiques) a abordé les questions de la prévention des dommages transfrontières résultant d’activités dangereuses et de la répartition des pertes consécutives à de tels dommages.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a entamé, aujourd’hui, sa discussion générale sur la promotion et la protection des droits de l’homme, un échange qui, comme de coutume, a fait apparaître de profondes lignes de fracture entre États Membres, tant sur les priorités à défendre que sur les modalités de mise en œuvre de ces droits, certains fustigeant leur utilisation à des fins politiques, quand d’autres préconisent des efforts dans des pays spécifiques.
Dans « un monde en péril et paralysé », semble-t-il « plus polarisé que jamais », le rôle du Département de la communication globale (DCG) pour promouvoir le multilatéralisme est crucial, a déclaré, cet après-midi à la Quatrième Commission, la Secrétaire générale adjointe Melissa Fleming, dont le leadership a été cette année axé sur ce qu’elle a appelé les « trois C »: la COVID-19 et le redressement postpandémique; le climat et la nécessité de mener une action concertée; et les conflits, malheureusement trop fréquents en 2022.
La Présidente du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux, a annoncé, ce matin, à l’Assemblée générale, qu’à l’exception de deux procès, toutes les affaires du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) avaient été réglées.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé ce matin le volet de son débat thématique sur les armes classiques. Elle a toutefois encore consacré l’essentiel de sa séance à la question des « autres armes de destruction massive », dont elle avait entamé l’examen hier, occasion pour de nombreuses délégations de souligner l’importance de régimes de vérification contraignants pour s’assurer sur le respect de la mise en œuvre tant de la Convention sur les armes biologiques que de la Convention sur les armes chimiques.