La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin les facilitateurs des négociations faire état de « progrès considérables » vers le règlement des questions en suspens.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des délégations exprimer leur vive inquiétude quant à l’issue des négociations, celles-ci entrant dans la dernière « ligne droite », selon l’expression du délégué de Cuba.
La Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a promis, ce matin, qu’une version consolidée du nouvel avant-projet d’accord actualisé, sur la base duquel travaillent les délégations, sera présentée ce samedi.
L’Assemblée générale a adopté, cet après-midi, trois résolutions, dont deux portant sur l’organisation de réunions de haut niveau.
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des rapports résumant les travaux qui se sont tenus ces deux derniers jours lors de consultations informelles.
Dans le cadre de sa onzième session extraordinaire d’urgence reprise hier et à quelques heures seulement du premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie, l’Assemblée générale a adopté, aujourd’hui, à une large majorité, une nouvelle résolution destinée cette fois à défendre les principes de la Charte des Nations Unies « sous-tendant une paix globale, juste et durable en Ukraine ».
« Des progrès ont été enregistrés dans les consultations informelles pour chacune des thématiques examinées », s’est enthousiasmée, ce matin, Mme Rena Lee, de Singapour, Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
À la veille du premier anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine, l’Assemblée générale a repris, cet après-midi, sa onzième session extraordinaire d’urgence. Avant de se prononcer, demain, sur un projet de résolution intitulé « Principes de la Charte des Nations Unies sous-tendant une paix globale, juste et durable en Ukraine », présenté par le Ministre des affaires étrangères de l’Ukraine, les États Membres ont entendu l’appel du Secrétaire général à ne pas perdre un instant si l’on veut parvenir à une paix véritable fondée sur le droit international et en particulier la Charte.
Dans un contexte marqué par des tensions politiques accrues et l’enlisement du processus de paix au Moyen-Orient, le Secrétaire général a exhorté les parties à mettre un terme aux mesures unilatérales qui alimentent le conflit, ce matin, devant le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.
Ce matin, après avoir élu son bureau, le Comité spécial des opérations de maintien de la paix (Comité des 34) a entamé le débat général de sa session de fond 2023, alors qu’il n’était pas parvenu l’an dernier à adopter son rapport, un point sur lequel de nombreuses délégations sont revenues, en espérant que cela ne créerait pas de précédent.