La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale a poursuivi, ce matin, sa discussion thématique sur les armes nucléaires. Les pays ont exprimé des vues contrastées, tantôt pour souligner l’importance de légiférer sur l’aspect humanitaire de ces armes, tantôt pour en défendre la place dans les doctrines et politiques de sécurité des États dotés, officiellement ou non, parties ou non au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). En outre, les pays en développement ont attiré l’attention sur l’importance pour eux de pouvoir bénéficier sans entrave des utilisations pacifiques de l’énergie atomique dans le cadre des accords qui les lient à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
La Première Commission, chargé des questions de désarmement et de sécurité internationale, a entamé ce vendredi son débat thématique appelé à durer jusqu’au 30 octobre. Comme de coutume, c’est par le chapitre consacré aux armes nucléaires que ce débat a commencé, avec notamment des déclarations des groupes régionaux mais aussi d’Israël et des États-Unis.
Au troisième jour de son examen de la promotion et protection des droits humains, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée sur une série de thèmes portant notamment sur l’accès à un logement décent, les droits à l’alimentation, l’eau potable et l’assainissement, de même que le droit à un environnement propre, sain et durable, ainsi que la promotion et la protection des droits humains dans le contexte des changements climatiques. Elle a également discuté des questions liées à la gestion et l’élimination écologiquement rationnelles des produits et déchets dangereux.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a terminé, aujourd’hui, son débat sur l’état de droit auquel ont participé près d’une centaine de délégations.
Les progrès technologiques s’accélèrent, mais leurs fruits restent inégalement répartis. Aujourd’hui, la Deuxième Commission (économique et financière) a longuement examiné la fracture numérique et la question de la gouvernance des données, ainsi que leurs impacts sur la mondialisation et les migrations.
Les conflits créent des incertitudes géopolitiques. Ils détournent l’attention des besoins urgents des pays du Sud, où l’économie croît lentement et inégalement. Le fardeau de la dette s’alourdit.
À l’occasion du débat sur l’état de droit aux niveaux national et international, le Président de l’Assemblée générale, M. Philémon Yang, a, devant la Sixième Commission chargée des questions juridiques, exhorté les délégations à œuvrer dans un esprit de consensus afin de parvenir à élaborer une convention pour la prévention et la répression des crimes contre l’humanité et une convention sur la protection des personnes en cas de catastrophe.
Au lendemain de son dialogue avec le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, la Troisième Commission, chargée des affaires sociales, humanitaires et culturelles, a entamé aujourd’hui son examen des violations qui entravent la jouissance de ces droits, des formes contemporaines d’esclavage à la traite des personnes, en passant par les déplacements forcés et les atteintes à la liberté d’opinion et d’expression.
Dans le cadre de son débat annuel sur ses méthodes de travail, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a décidé, aujourd’hui, que l’identité de l’État Membre ou des États Membres qui demandent un vote sur des paragraphes précis ou sur des projets de résolution dans leur ensemble devra être communiquée à la Première Commission par sa présidence dès lors qu’un État en fait la demande.
Ce matin, la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a conclu son examen des points de son ordre du jour portant sur la décolonisation en adoptant 24 projets de résolution et de décision, dont 20 figurent dans le rapport du Comité spécial chargé d’étudier la situation en ce qui concerne l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux sur ses travaux de 2024.