L’Assemblée générale a adopté, ce matin, 38 des 41 projets de résolution et de décision que lui recommandait sa Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, dont 10 à l’issue d’un vote. L’examen des trois textes restants a été reporté, le temps que la Cinquième Commission examine leurs implications budgétaires.
En cours au Siège de l'ONU
Deuxième Commission
La Deuxième Commission a achevé, ce matin, ses travaux pour la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale en adoptant ses quatre derniers projets de résolution, sur 39 élaborés cet automne, dont l’un relatif à un projet de convention-cadre en matière de coopération fiscale internationale.
La Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a aujourd’hui adopté 15 projets de résolution sur six points de son ordre du jour, dont 6 à l’issue d’un vote, au cours d’une journée émaillée de vifs débats et de désaccords de fond.
La Deuxième Commission, qui traite des questions économiques et financières, a adopté aujourd’hui 15 projets de résolution. Ils couvrent pas moins de sept chapitres, dont ceux, centraux pour les travaux de la Commission, ayant trait aux « questions de politique macroéconomique » et au « développement durable ».
Ce matin, la Deuxième Commission (questions économiques et financières) a adopté trois projets de résolution, dont deux à l’issue d’un vote. Le développement durable, pilier des travaux de la Deuxième Commission et du Programme de développement durable à l’horizon 2030, a fait l’objet de deux textes, parmi les premiers d’une longue série qui seront adoptés la semaine prochaine.
De nouveau réunie ce matin après plusieurs semaines de consultations informelles, la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, a adopté ses deux premiers projets de résolution de la session. Tous deux sont liés aux conflits entre Israël et ses voisins palestinien, libanais et syrien.
Alors que le monde fait face à des défis complexes et que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 demeure hors de portée, la transformation numérique apparaît comme un vecteur d’espoir de plus en plus puissant pour la communauté internationale.
Les progrès technologiques s’accélèrent, mais leurs fruits restent inégalement répartis. Aujourd’hui, la Deuxième Commission (économique et financière) a longuement examiné la fracture numérique et la question de la gouvernance des données, ainsi que leurs impacts sur la mondialisation et les migrations.
Les conflits créent des incertitudes géopolitiques. Ils détournent l’attention des besoins urgents des pays du Sud, où l’économie croît lentement et inégalement. Le fardeau de la dette s’alourdit.
Rien ne saurait justifier le châtiment collectif qui s’abat sur les Palestiniens. C’est ce qui ressort du rapport du Secrétaire général sur les « répercussions économiques et sociales de l’occupation israélienne sur les conditions de vie du peuple palestinien dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et de la population arabe dans le Golan syrien occupé », présenté cet après-midi à la Deuxième Commission (économique et financière).