La Commission économique et financière (Deuxième Commission) s’est réunie cet après-midi pour adopter ses deux premières résolutions de la soixante-quatrième session de l’Assemblée générale.
La Commission économique et financière s’est réunie cet après-midi pour examiner 14 projets de résolution relatifs à la plupart des questions de développement inscrites à son ordre du jour, dont un projet de résolution aux termes duquel la Commission recommanderait à l’Assemblée générale d’inviter les institutions financières internationales à atténuer les effets sur l’économie mondiale de la crise financière actuelle.
Pour le dernier des évènements spéciaux organisés dans le cadre des travaux de sa session, la Commission économique et financière (Deuxième Commission), a débattu ce matin de la question du « renforcement de la gouvernance en matière de l’eau ». C’était à l’occasion d’une table ronde réunissant, autour du Président de la Deuxième Commission, M. Park In-kook (République de Corée), quatre principaux intervenants.
Au cours d’un bref débat, auquel ont pris part cinq délégations, la Commission économique et financière (Deuxième Commission) a plaidé ce matin en faveur du renforcement des partenariats mondiaux en s’appuyant sur les recommandations contenues dans le rapport soumis sur la question par le Secrétaire général, et sur les termes d’un projet de résolution présenté par le représentant de la Suède, qui s’exprimait au nom de l’Union européenne.
La Commission économique et financière de l’Assemblée générale (Deuxième Commission) a conclu cet après-midi le débat sur le développement durable qu’elle avait entamé lundi, en entendant les déclarations d’une dizaine de délégations, dont celles du Maroc et de la Tunisie, qui ont attiré l’attention sur les difficultés que rencontraient les pays d’Afrique du Nord dans la lutte contre les changements climatiques et la désertification.
La Commission économique et financière (Deuxième Commission) a poursuivi aujourd’hui le débat général qu’elle avait entamé hier sur le développement durable en mettant de nouveau l’accent sur la nécessité de parvenir, lors de la Conférence de Copenhague sur les changements climatiques, qui aura lieu le mois prochain, à un accord fixant des objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour l’après-Protocole de Kyoto.
Quatre jours avant la fin des négociations précédant la tenue à Copenhague, en décembre prochain, d’une Conférence internationale, très attendue, portant sur les changements climatiques, cette question était aujourd’hui l’une de celles qui ont été examinées par la Commission économique et financière (Deuxième Commission) dans le cadre du thème plus large du développement durable.
La crise financière mondiale a mis en lumière les grandes insuffisances du système financier international, et sa revitalisation exige que plusieurs défis soient relevés ». C’est en ces termes que M. PARK IN-KOOK (République de Corée), Président de la Commission économique et financière (Deuxième Commission), a ouvert ce matin la septième d’une série de tables rondes qui était consacrée, aujourd’hui, à la revitalisation du système financier international.
La Commission économique et financière (Deuxième Commission) a achevé cet après-midi, au cours d’une brève séance plénière, le débat qu’elle avait entamé hier sur le commerce international et le développement.
Après deux décennies d’une mondialisation qui a renforcé l’interdépendance entre les nations, les relations entre commerce international et développement revêtent désormais une dimension critique, alors que se multiplient les crises.