Les délégations qui prennent part à la troisième session de la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité marine ont progressé aujourd’hui sur les négociations du futur « instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale ».
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Au quatrième jour du nouveau cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats ont été animés, ce matin, par le Groupe de travail officieux sur les études d’impact sur l’environnement, lesquelles constituent l’un des principaux volets du futur accord.
De nombreuses propositions ont marqué les discussions de ce matin, au sein du Groupe de travail officieux sur « les mesures telles que les outils de gestion par zone, y compris les aires marines protégées », alors que la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale entamait le troisième jour de son avant-dernière session de négociation.
Au second jour du nouveau cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les délégations ont débattu des modalités du transfert des techniques marines aux pays en développement et du renforcement des capacités de ces derniers, soit l’un des principaux volets du futur traité.
« Il est temps d’identifier notre destination et de mener les travaux à bon port », a déclaré, ce matin, la Présidente de la Conférence intergouvernementale censée aboutir à un instrument international juridiquement contraignant « se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale ».
L’Assemblée générale a souligné, ce matin, l’intérêt qu’il y a à accroître la coopération et la coordination entre organismes des Nations Unies et les membres du Forum des îles du Pacifique et a encouragé le Secrétaire général et les dirigeants du Forum à tenir leur prochaine réunion en septembre 2019, en marge du débat général.
L’Assemblée générale a adopté, cet après-midi, cinq résolutions visant à protéger les droits de l’enfant, promouvoir une culture de paix et de tolérance, et renforcer la coopération entre les Nations Unies et les organisations régionales.
L’Assemblée générale a adopté, aujourd’hui, à l’issue d’un vote demandé par les États-Unis, les modalités des forums d’examen qui seront organisés tous les quatre ans pour s’informer des progrès accomplis dans la mise en œuvre du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, y compris ses liens avec le Programme de développement durable à l’horizon 2030.
Au deuxième jour du vingt-cinquième anniversaire de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), qui s’est tenue au Caire, du 5 au 13 septembre 1994, les États se sont quittés en se donnant rendez-vous à Nairobi pour « accélérer les promesses « de leur Programme d’action.
L’Assemblée générale a célébré, aujourd’hui, le vingt-cinquième anniversaire de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD), qui a eu lieu au Caire du 5 au 13 septembre 1994, avec la participation de 179 États.