L’avenir du Sahara occidental a mobilisé 79 pétitionnaires ces deux derniers jours à la Quatrième Commission, chargée des questions de politiques spéciales et de décolonisation. Les partisans du Front POLISARIO et ceux du plan d’autonomie proposé par le Maroc, se sont mutuellement accusés de violations des droits de l’homme. Derrière ces prises de positions, c’est un clivage entre développement économique et droit à l’autodétermination qui a émergé.