Le Représentant permanent de l’Iraq auprès des Nations Unies, M. Mohammed Hussein Bahr Aluloom, a été élu, le 4ºjuin 2019, Président de la Quatrième Commission (Questions politiques spéciales et de la décolonisation) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Le Représentant permanent de la Bolivie auprès des Nations Unies, M. Sacha Sergio Llorentty Solíz, a été élu, le 4 juin 2019, Président de la Première Commission (Questions de désarmement et de sécurité internationale) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Le Représentant permanent du Luxembourg auprès des Nations Unies, M. Christian Braun, a été élu, le4 juin 2019, Président de la Troisième Commission (Questions sociales, humanitaires et culturelles) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Le Représentant permanent de la Slovaquie auprès des Nations Unies, M. Michal Mlynár, a été élu, le 4 juin 2019, Président de la Sixième Commission (Questions juridiques) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Loin d’être un principe démodé, la coopération multilatérale demeure une méthode « acceptable et fiable » pour gérer les relations entre nations.
La cinquième journée du débat général de l’Assemblée générale a été marquée comme les jours précédents par les questions liées aux ingérences extérieures, aux flux migratoires, aux changements climatiques et au processus de paix, cette fois avec les interventions de la Syrie, de Cuba, du Mexique, d’Haïti et du Yémen parmi une trentaine d’intervenants dont la République du Congo qui a dénoncé le trafic de faux médicaments.
Applaudissements et murmures de désapprobation ont résonné plus que d’ordinaire dans la grande salle de l’Assemblée générale. Qu’il s’agisse de la situation au Jammu-et-Cachemire, des effets dévastateurs des changements climatiques, ou de la survie des petits États insulaires en développement, la quatrième journée du débat général a donné lieu à des prises de position tranchées de la part de pays aussi différents démographiquement qu’économiquement, avec pour principal point commun une critique larvée du rôle des Nations Unies face aux crises que traverse le monde.
Cinq ans après les « Orientations de Samoa », les chefs d’État et de gouvernement, les ministres et les hauts-représentants ont reconnu aujourd’hui, dans une Déclaration politique* adoptée par consensus, que les petits États insulaires en développement (PEID) continuent de subir les effets conjugués de leur éloignement géographique, de la petite taille de leur économie, des coûts élevés des effets des changements climatiques et des catastrophes naturelles
Près d’une quarantaine de chefs d’État et de gouvernement et de hauts responsables se sont succédé au podium de marbre vert de l’Assemblée générale durant cette troisième journée du débat général, dont la sobriété protocolaire n’aura été interrompue que le temps pour le Président salvadorien de prendre un selfie à l’entame de son allocution et pour les partisans du Président de la République démocratique du Congo, le premier à prendre pacifiquement les rênes du pouvoir depuis l’indépendance du pays, de l’acclamer depuis la salle.
« Le financement est un test pour mesurer notre sérieux », a prévenu d’emblée le Secrétaire général de l’ONU à l’ouverture du Dialogue de haut niveau de l’Assemblée générale sur le financement du développement, premier sommet sur cette question depuis l’adoption en 2015 du Programme d’action d’Addis-Abeba.