La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a entamé cet après-midi son débat sur les crimes contre l’humanité, soit avec une demi-journée d’avance sur le programme de travail annoncé.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Aucun nom
La troisième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a vu se succéder aujourd’hui 24 délégations. Si les thématiques abordées ont été nombreuses, les discussions ont été dominées par les questions relatives à la réduction des risques nucléaires, les armes légères et de petit calibre (ALPC) et les systèmes d’armes létaux autonomes (SALA).
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a ouvert ce matin l’enveloppe exacte de 711 280 600 dollars pour les 36 missions politiques spéciales en 2025.
Cet après-midi, la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a poursuivi son examen des points de son ordre du jour relatifs à la décolonisation en procédant à l’audition de pétitionnaires concernant la question du Sahara occidental, partagés entre les tenants d’un référendum d’autodétermination sur ce territoire non autonome et ceux de l’initiative marocaine d’autonomie.
La Troisième Commission, chargée des affaires sociales, humanitaires et culturelles, a entamé, aujourd’hui, son examen de la condition des femmes sur un constat alarmant: la montée en puissance d’une réaction mondiale contre les droits des femmes et des filles et l’égalité des sexes.
Serait-il imaginable de faire baisser le niveau de sa dette –une dette dont tant de pays se plaignent devant la Deuxième Commission (questions économiques et financières)- en la convertissant dans des projets concrets pour préserver les écosystèmes et lutter contre les changements climatiques? Cette idée est l’une des nombreuses suggérées par les pays en situation particulière au second jour de débat général.
La vingtaine de délégations qui ont pris la parole lors de la deuxième journée du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), ont abordé de nombreux thèmes, notamment l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) à des fins militaires, la militarisation de l’espace extra-atmosphérique et la menace nucléaire croissante. La guerre en Ukraine et les conflits au Moyen-Orient ont une fois encore formé la toile de fond de discussions souvent tendues, lesquelles ont donné lieu à de nombreux droits de réponse en fin de séance.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a entendu, ce matin, un message fort du Président de l’Assemblée générale. Bien que la dernière décennie ait été une période difficile pour le multilatéralisme, a plaidé M. Philémon Yang, nous ne pouvons pas nous permettre une paralysie administrative et budgétaire qui plongerait l’Organisation dans la crise.
Cet après-midi, la Quatrième Commission a entamé les auditions de pétitionnaires des territoires non autonomes, les représentants officiels de Îles vierges britanniques, de la Polynésie française, de Gibraltar, de Guam et de la Nouvelle-Calédonie ayant également eu l’occasion de s’adresser aux délégations.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a démarré, ce matin, les travaux de fond de sa soixante-dix-neuvième session. Comme le veut la pratique, l’ouverture de la séance a été confiée à la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, qui a axé son propos sur les enjeux de la Commission dans un contexte marqué par l’adoption récente du Pacte pour l’avenir et les commémorations de l’attaque du Hamas contre Israël perpétrée il y a un an jour pour jour.