Instance permanente questions autochtones


DH/5462

La quatrième journée de la vingtième session de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été l’occasion pour les organisations autochtones de renouveler leur demande d’une participation accrue aux travaux de l’ONU et d’une représentation de la « nation » des peuples autochtones à l’Assemblée générale. 

DH/5461

Le Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones, a alerté, ce matin, que le virus de la COVID-19 représente une menace existentielle pour les peuples autochtones, et qu’en l’absence d’une action renforcée des États, la pandémie reléguera encore plus loin ces communautés dont les moyens d’existence et la culture risquent de disparaître.

DH/5458

L’Instance permanente sur les questions autochtones a donné, cet après-midi, le coup d’envoi des travaux de sa vingtième session, l’occasion pour le Secrétaire général de s’alarmer de l’« aggravation spectaculaire » des violences et des attaques visant les dirigeants autochtones et les défenseurs des droits des peuples autochtones sur leurs terres, leurs territoires et leurs ressources. 

DH/5436

La poursuite, ce matin, des travaux de l’Instance permanente sur les questions autochtones a été marquée par les réactions à l’intervention du Président du Congrès mondial des Ouïghours, l’appel à un appui plus ferme du Secrétaire général ainsi que par une vive dénonciation de l’absence de répudiation de la doctrine de la découverte. 

DH/5435

La session 2019 de l’Instance permanente sur les questions autochtones a achevé, ce matin, sa première semaine de travaux par un appel à améliorer la représentation des peuples autochtones au sein des Nations Unies, notamment via la création d’un statut d’observateur à l’Assemblée générale pour leurs représentants, au lieu du système actuel qui les oblige à s’inscrire en tant que membres de la société civile.

DH/5434

La session 2019 de l’Instance permanente sur les questions autochtones a poursuivi ses travaux, ce matin, au Siège de l’ONU, l’occasion pour plusieurs intervenants de tirer la sonnette d’alarme face à la prévalence « disproportionnée » de certaines maladies chez les peuples autochtones et aux « discriminations » qu’ils subissent dans l’accès à des soins respectueux de leurs traditions, s’agissant de la tuberculose, du virus du sida ou de la santé mentale des jeunes et personnes LGBT