La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
En cours au Siège de l'ONU
Cour internationale de Justice
À l’unanimité de ses membres, le Conseil de sécurité a décidé, ce matin de fixer au 12 novembre 2025 la date de l’élection destinée à pourvoir le siège devenu vacant à la Cour internationale de Justice (CIJ), suite à la démission de Abdulqawi Ahmed Yusuf (Somalie) dont le mandat devait arriver à expiration le 5 février 2027. Cette démission prend effet le 30 septembre 2025.
Le Conseil de sécurité a élu ce matin, parallèlement avec l’Assemblée générale, M. Mahmoud Daifallah Hmoud, de la Jordanie, à la Cour internationale de Justice (CIJ) à l’unanimité de ses 15 membres.
Avant de se prononcer sur l’adoption de plusieurs projets de texte, l’Assemblée générale a procédé, ce matin, parallèlement au Conseil de sécurité à l’élection de M. Mahmoud Daifallah Hmoud, de la Jordanie, comme juge à la Cour internationale de Justice (CIJ) pour y remplacer le juge libanais Nawaf Salam, démissionnaire, et dont le mandat expire le 5 février 2027.
À l’unanimité de ses membres, le Conseil de sécurité a adopté, cet après-midi, un projet de résolution fixant au 27 mai 2025 la date de l’élection destinée à pourvoir le siège devenu vacant par la démission du Président de la Cour internationale de Justice (CIJ), le juge Nawaf Salam.
On trouvera ci-après la déclaration faite aujourd’hui par le Bureau du Comité de l’Assemblée générale pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien:
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
L’Assemblée générale a élu, ce matin, cinq juges à la Cour internationale de Justice (CIJ), pour un mandat de neuf ans qui prendra effet le 6 février 2024
Les éloges n’ont pas manqué, aujourd’hui, lors de la reprise du débat de l’Assemblée générale consacré à la Cour internationale de Justice (CIJ), entamé le 26 octobre avec la présentation du rapport annuel des activités de la Cour par sa Présidente, Mme Joan Donoghue. De fait, a argué le Sénégal, « il est de la responsabilité de tous les États Membres de faire régner la force du droit et non le droit de la force ».
Les délégations ont été nombreuses, aujourd’hui, devant l’Assemblée générale, à décerner un satisfecit à la Cour internationale de Justice (CIJ) pour la qualité de son travail et sa contribution « exceptionnelle » à la coexistence pacifique entre les nations et la promotion de l’état de droit.