Le Comité des opérations de maintien de la paix a achevé aujourd’hui son débat général, entamé hier, avec les interrogations de quelques États sur les mandats dotés d’une composante « protection des civils »: impératif humanitaire ou outil d’ingérence?
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Élevé sous la dictature du régime de Salazar qui, en Afrique et en Asie, a mené une politique coloniale « absurde », le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres a avoué aujourd’hui que l’histoire du Comité de la décolonisation est étroitement associée « à mon combat et mes rêves de jeunesse pour la démocratie ».
Le Comité spécial de la Charte des Nations Unies et du raffermissement du rôle de l’Organisation, qui a entamé hier sa session de 2017, a tenu ce matin une brève séance plénière pour entendre deux délégations présenter des observations générales.
Le Comité spécial des opérations de maintien de la paix a commencé sa session annuelle, aujourd’hui, par un débat général au cours duquel de nombreuses délégations ont fait part de leur impatience devant le rythme de la mise en œuvre du Rapport du Groupe indépendant de haut niveau chargé d’étudier les opérations de paix publié en 2015 et des recommandations du Secrétaire général qui ont suivi la même année.
Le Comité spécial de la Charte des Nations Unies et du raffermissement du rôle de l’Organisation, organe subsidiaire de l’Assemblée générale qui formule des recommandations pour encourager le développement progressif du droit international, a entamé, ce matin, sa session de 2017 qui durera jusqu’au 1er mars.
Les mânes des personnes disparues après « nuit et brouillard » le décret pris en 1941 par le régime nazi sur la déportation des opposants et après « l’Opération Condor », vaste campagne d’assassinats conduite dans les années 1970 en Amérique latine, ont été invoqués, aujourd’hui, au Siège de l’ONU, pour appeler à une universalisation de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, adoptée il y a tout juste 10 ans.
La Conférence des Nations Unies pour la négociation du premier instrument juridiquement contraignant visant à interdire les armes nucléaires a tenu aujourd’hui une séance d’organisation de sa première phase de négociation de quatre semaines qui débutera le 27 mars.
Le Représentant permanent du Sénégal auprès des Nations Unies, M. Fodé Seck, a été réélu, aujourd’hui, par consensus, Président du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien pour un nouveau mandat d’un an.
Ce matin, au cours d’une séance d’organisation, la Commission du désarmement a élu par acclamation Mme Gabriela Martinic, de l’Argentine, pour présider sa session de fond de 2017 qui se tiendra du 3 au 21 avril. La Commission a également élu deux vice-présidents sur huit et pris note de l’ordre du jour provisoire la session.
« Jeter des ponts avec la diaspora palestinienne en Amérique centrale », c’est le thème de la réunion que le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien a tenue à Managua, au Nicaragua, le 4 février dernier, espérant que cette année soit celle de l’espoir de mettre fin aux 50 ans d’occupation.