L’Assemblée générale a proclamé aujourd’hui le 12 décembre « Journée internationale de la neutralité », et salué les progrès réalisés par la République centrafricaine pour un retour dans le Processus de Kimberley sur la certification des diamants bruts.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien organisera, le 4 février, une table ronde sur la question de la Palestine, au Centre de convention de l’hôtel Holiday Inn de Managua, au Nicaragua.
L’Assemblée générale a achevé aujourd’hui son débat de deux jours sur les synergies entre le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et le maintien de la paix, au cours duquel quelque 80 intervenants ont voulu graver dans les esprits le cercle vertueux: pas de développement durable sans paix et pas de paix sans développement durable.
Le Comité d’organisation de la Commission de consolidation de la paix (CCP) a élu par acclamation, aujourd’hui, M. Cho Tae-yul, Représentant permanent de la République de Corée auprès des Nations Unies, à la tête de la Commission, dont l’une des priorités sera, cette année, la pérennisation de la paix.
Le Comité spécial de la décolonisation partage la joie du peuple portoricain après la libération du leader indépendantiste Oscar López Rivera, obtenue grâce à la lutte et la solidarité du peuple portoricain, soutenu par plusieurs personnalités dont le pape François. Après avoir purgé 35 ans d’une peine de 70 ans, Oscar López Rivera s’est vu octroyer une commutation de sa peine par le Président Barack Obama.
L’Assemblée générale, qui a organisé aujourd’hui un débat sur les synergies entre le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et le maintien de la paix, a entendu le Secrétaire général de l’ONU constater le « grave échec » du développement dans un monde inégalitaire et asymétrique. M. António Guterres a établi le lien entre économies défaillantes, fragilité des sociétés et des institutions et conflits. Il a donc appelé à une réponse mondiale qui s’attaque aux causes sous-jacentes des conflits pour assurer le développement durable.
L’Assemblée générale a achevé, ce 23 décembre, la principale partie de sa soixante et onzième session marquée, au débat général, à la plénière ou dans les six grandes commissions, par une certaine anxiété face à l’état incertain et instable du monde: conflits, terrorisme, extrême pauvreté, changements climatiques.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a achevé, cet après-midi, « trois heures plus tôt que l’année dernière », selon sa Présidente, les travaux de la partie principale de sa session par l’adoption de 16 recommandations à l’Assemblée générale dont une sur l’actualisation du budget 2016-2017 et une autre sur l’esquisse budgétaire 2018-2019.
L’Assemblée générale a adopté, dans la soirée, les rapports* de sa Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires. Elle a également adopté 11 résolutions dans lesquelles elle décide, entre autres, de créer une Banque de technologies pour les pays les moins avancés (PMA), d’organiser, en 2017, une Conférence des Nations Unies pour négocier un instrument juridiquement contraignant sur l’interdiction des armes nucléaires; et de tenir, également en 2017, une Conférence de haut niveau pour appuyer la mise en œuvre de l’objectif 14 du Programme de développement durable à l’horizon 2030 sur la conservation et l’exploitation de manière durable des océans, des mers et des ressources marines.
L’Assemblée générale a adopté aujourd’hui par vote une résolution sur la coopération entre l’ONU et l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) dans laquelle elle prend acte des informations sur les allégations d’emploi de produits toxiques en Syrie et se félicite des progrès enregistrés dans la destruction des armes chimiques en Libye. L’Assemblée a aussi adopté, cette fois-ci sans vote, une résolution sur la promotion du dialogue entre les religions et les cultures dans laquelle elle condamne tout appel à la haine religieuse dans la presse écrite, les médias audiovisuels ou électroniques et souligne que la liberté d’expression peut être soumise à certaines restrictions nécessaires à la protection de l’ordre public.