« Plus que toute chose », le nouveau nom du Département de la communication globale réaffirme la volonté de garantir « qu’une culture de la communication et de la transparence doit prévaloir à tous les niveaux de l’Organisation, afin de pleinement informer les peuples du monde sur les objectifs et activités de l’ONU ».
En cours au Siège de l'ONU
Comité de l'information
Après deux semaines de travaux, dont deux journées de débat général, le Comité de l’information a achevé, ce matin, sa session annuelle, en donnant des directives au Département de l’information (DPI) pour qu’il assure l’égalité parfaite entre l’anglais et les cinq autres langues officielles des Nations Unies, et ce faisant, s’adapte à un paysage médiatique en pleine évolution.
« On ne peut pas simplement s’attendre à ce que “Nous les peuples”* comprennent et s’engagent dans la seule langue de Shakespeare », a lancé, ce matin, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) au Comité de l’information, qui a bouclé son débat général avec un plaidoyer en faveur du multilinguisme, un thème sur lequel s’est attardée, aujourd’hui encore, la Secrétaire générale adjointe à la communication, après les propos tenus dès hier, à l’ouverture de la session, par le Groupe des Amis de la langue espagnole et la Communauté des pays de langue portugaise.
Comment l’Organisation doit et devrait-elle communiquer sur les valeurs qu’elle promeut au nom de tous les États Membres? C’est la question qui est à l’origine de la réforme du Département de l’information dont les grandes lignes ont été présentées, ce matin, par la Secrétaire générale adjointe à la communication, à l’ouverture des travaux de la session annuelle du Comité de l’information.
Après deux semaines de travaux, dont deux journées de débat général*, le Comité de l’information a achevé, ce matin, sa trente-neuvième session en donnant des directives pour que le Département de l’information (DPI) des Nations Unies poursuive sa mission de diffuser des informations précises, impartiales, complètes, équilibrées, en temps opportun et dans plusieurs langues, sur les activités des Nations Unies.
Le Département de l’information de l’ONU (DPI) doit continuer à diffuser les messages de l’ONU sur les enjeux prioritaires de notre époque et à élargir leur portée à travers le multilinguisme, ont déclaré en substance les délégations au deuxième jour de débat général au Comité de l’information.
Le Département de l’information de l’ONU (DPI) s’adapte aux nouvelles technologies et modernise ses méthodes de travail, en tenant compte des habitudes des utilisateurs, a annoncé cet après-midi le Chef de ce département, à l’ouverture de la trente-neuvième session du Comité de l’information.
En achevant, cet après-midi, sa trente-huitième session, le Comité de l’information a exprimé sa reconnaissance au Département de l’information (DPI) des Nations Unies pour le travail accompli depuis le mois de mai 2015 et fixé ses priorités pour l’année à venir, notamment la promotion du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Accord de Paris sur le climat.
Le Comité de l’information a clôturé, ce matin, le débat général de sa trente-huitième session en écoutant la Secrétaire générale adjointe à l’information et à la communication répondre aux préoccupations soulevées ces deux derniers jours, tout particulièrement celles relatives au respect du multilinguisme dans les contenus du Département de l’information (DPI). Mme Cristina Gallach a énuméré quelques « moyens créatifs » de parvenir à la parité linguistique.
Le Costa Rica, la Colombie, El Salvador ou encore le Paraguay ont réitéré aujourd’hui devant le Comité de l’information, l’appel lancé hier par le Mexique, au nom du Groupe des Amis de la langue espagnole, pour que le Département de l’information de l’ONU (DPI) traite équitablement les six langues officielles des Nations Unies dans ses contenus. La Fédération de Russie, la Chine, le Liban et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont également réaffirmé leur attachement au multilinguisme à l’ONU.