« Importantes » et « essentielles ». Aujourd’hui à la Quatrième Commission, les États ont vanté les mérites des missions politiques spéciales, partie intégrante de l’architecture « paix et de sécurité » des Nations Unies. Plusieurs de ces délégations ont posé la question de leur financement « non optimal ».
En cours au Siège de l'ONU
Quatrième Commission
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a achevé, ce matin, son débat consacré aux opérations de maintien de la paix, au cours duquel les délégations ont notamment mis l’accent sur la protection des civils et des personnels des missions.
Au troisième jour du débat de la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) consacré au maintien de la paix, c’est l’Afrique qui a dominé la séance, qui a notamment été marquée par la forte mobilisation des délégations africaines, qui ont souligné que si le continent accueille la moitié des missions de maintien de la paix déployées dans le monde, il est également un important fournisseur de contingents à ces missions.
« La paix coûte toujours moins cher que la guerre. » C’est en ces termes que la représentante du Pakistan a cadré, ce matin, le débat de la Quatrième Commission consacré aux opérations de maintien de la paix. Elle se faisait l’écho d’autres délégations, comme celles de la Tanzanie, qui ont regretté la baisse du financement des opérations de maintien de la paix à cause de contraintes budgétaires.
Aujourd’hui, à la Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, les Secrétaires généraux adjoints aux opérations de maintien de la paix et à l’appui aux missions ont sonné le départ de la concrétisation d’« Action pour le maintien de la paix »
Cet après-midi, la Quatrième Commission s’est penchée sur l’Université pour la paix (UPEACE), un point de son ordre du jour* qui revient tous les trois ans.
La Quatrième Commission chargée des politiques spéciales et de la décolonisation a achevé, aujourd’hui son débat sur l’usage pacifique de l’espace extra-atmosphérique, en alertant l’Assemblée générale de la possibilité d’une course aux armements dans l’espace.
Au deuxième jour du débat de la Quatrième Commission (questions de politiques spéciales et décolonisation), sur la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, les délégations ont été nombreuses à reconnaître le rôle de premier plan que joue le Comité des Nations Unies pour l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique (COPUOS), et ses organes subsidiaires pour la promotion de la coopération internationale dans ce domaine.
La Quatrième Commission (questions de politiques spéciales et décolonisation), a entamé, cet après-midi, l’examen de la coopération internationale touchant les utilisations pacifiques de l’espace, l’occasion pour de nombreuses délégations d’attirer l’attention sur le succès d’UNISPACE+50, mais aussi d’insister sur le potentiel que recèle l’espace pour le développement durable
Clôturant, ce matin, son examen des questions relatives à l’information, la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a adopté par consensus deux projets de résolution relatifs à l’information, dont un qui accorde une large place à l’importance de promouvoir le multilinguisme dans les activités du Département de l’information, « stratégie de survie pour l’Organisation ».