Le 20 décembre 2024, le Comité du Conseil de sécurité créé par la résolution 1970 (2011) a retiré l’entrée ci-après de sa liste de personnes et d’entités visées par des sanctions.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil de sécurité
Ce matin, M. Leonardo Santos Simão, Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, a présenté au Conseil de sécurité un diagnostic d’une région en proie à des défis sécuritaires et humanitaires persistants, voire s’aggravant.
La réunion mensuelle du Conseil de sécurité sur la situation au Soudan a permis, cet après-midi, d’entendre une responsable du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) faire rapport de la récente visite dans le pays du nouveau Coordonnateur des secours d’urgence et exiger des efforts accrus en matière d’acheminement de l’aide et de protection des civils. En présence de plusieurs ministres, dont le Secrétaire d’État des États-Unis, les interventions ont aussi porté sur la nécessité d’un cessez-le-feu, après 19 mois de combats entre les Forces armées soudanaises et les Forces d’appui rapide, et sur des ingérences étrangères présumées en soutien de ces dernières.
Le Conseil de sécurité a tenu ce matin un débat de haut niveau présidé par le Secrétaire d’État américain, M. Antony J. Blinken, sur le rôle de l’intelligence artificielle (IA) dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales, avec la participation du Secrétaire général de l’ONU et de deux professeurs spécialistes de la question. C’est le second débat du genre après celui du 18 juillet 2023.
On trouvera ci-après la déclaration du Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à la réunion que le Conseil de sécurité a tenue sur l’Intelligence Artificielle et le maintien de la paix et de la sécurité internationales, à New York, aujourd'hui:
Le Conseil de sécurité a tenu, ce matin, sa séance d’information mensuelle sur la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne, au cours de laquelle les thèmes du cessez-le-feu, de la libération des otages et de la colonisation persistante des territoires palestiniens ont été abordés.
La coopération militaire présumée entre la République populaire démocratique de Corée (RPDC) et la Fédération de Russie, et tout particulièrement en Ukraine, a été au cœur, cet après-midi, des débats du Conseil de sécurité réuni pour examiner l’expansion du programme militaire de Pyongyang et de son arsenal, qui comprend notamment des missiles balistiques intercontinentaux de dernière génération.
Le Conseil de sécurité s’est penché, cet après-midi, sur la question de la mise en œuvre du Plan d’action global commun concernant l’Iran. À 10 mois de l’expiration de la résolution 2231 (2015), l’impasse dans la restauration du Plan d’action sur le programme nucléaire iranien persiste, a déclaré la Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix.
Lors de la première séance du Conseil de sécurité se tenant après la chute du régime d’Assad, il y a seulement 11 jours, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie a fait un premier bilan après avoir rencontré des acteurs syriens sur le terrain. Ceux-ci expriment « des espoirs et des craintes », a noté M. Geir Pedersen tout en voyant « un grand espoir que la Syrie ait maintenant une réelle chance d’avancer vers la paix, la stabilité économique et la croissance ». Toutefois, « ce qui n’a pas changé, c’est l’ampleur de la crise humanitaire », a relevé le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires, M. Thomas Fletcher, intervenant également en direct de Damas.
On trouvera ci-après le texte de la déclaration à la presse faite, aujourd’hui, par la Présidente du Conseil de sécurité pour le mois de décembre, Mme Linda Thomas-Greenfield (États-Unis):