L’Angola, l’Espagne, la Malaisie, le Venezuela et la Nouvelle-Zélande entrent au Conseil de sécurité, élus par l’Assemblée générale, ce matin, pour un mandat allant du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016. Les cinq nouveaux membres non permanents remplacent l’Argentine, l’Australie, le Luxembourg, la République de Corée et le Rwanda.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Le programme de développement pour l’après-2015 devra être « transformateur », c’est-à-dire qu’il devra produire des avantages tangibles et améliorer la vie de toutes les populations de la planète. C’est ce qu’ont exigé aujourd’hui les 29 délégations qui ont participé au débat sur le développement durable au cours de l’examen de ce thème de son ordre du jour, qui comprend pas moins de neuf questions, par la Commission économique et financière (Deuxième Commission).
La Troisième Commission a entamé, cet après-midi, son débat sur la promotion et la protection des droits de l’enfant, l’occasion pour les délégations d’entendre cinq experts qui ont dressé un tableau mitigé de la situation.
La Sixième Commission (chargée des questions juridiques) a débattu, aujourd’hui, de la question de la portée et l’application du principe de compétence universelle. De nombreuses délégations, comme la Norvège, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Qatar, la Tunisie, le Congo, le Burkina Faso et le Rwanda, ont déclaré qu’elles attachaient la plus haute importance au principe de la compétence universelle.
« L’élimination de toutes les armes nucléaires est la seule garantie pour notre survie », a déclaré le représentant de Saint-Marin, résumant la plupart des déclarations entendues cet après-midi devant la Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale. Pour nombre de délégations, en effet, ces armes continuent de représenter la plus grande menace à laquelle l’humanité est confrontée.
Le représentant de la Thaïlande, au nom de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), a mis l’accent ce matin sur le potentiel des sciences spatiales dans le développement durable pour l’après-2015.
La Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a achevé, ce matin, son débat sur les questions de décolonisation avec les interventions des représentants de l’Algérie, du Maroc et du Chili, avant d’adopter 11 projets de résolution relatifs à ces questions.
Conscientes que « c’est dans les villes que la bataille pour le développement durable sera gagnée ou perdue », des délégations de la Commission économique et financière (Deuxième Commission) ont souhaité, ce matin, que les questions d’urbanisation durable soient introduites dans le futur programme de développement pour l’après-2015, afin « d’exploiter le pouvoir transformationnel des villes ».
L’idée d’inclure un objectif distinct sur l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes les femmes et les filles parmi les objectifs de développement durable pour l’après-2015 a été fortement appuyée par les délégations qui sont intervenues aujourd’hui, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles et au deuxième jour de son examen des questions relatives à la promotion de la femme.
Les délégations de la Sixième Commission (chargée des questions juridiques) ont examiné, aujourd’hui, les travaux du Comité spécial de la Charte et du raffermissement du rôle de l’Organisation des Nations Unies, avant d’entamer l’examen de la demande d’octroi du statut d’observateur de quatre organisations.