La Première Commission (chargée du désarmement et de la sécurité internationale) a poursuivi, ce matin, son débat général en entendant une vingtaine de délégations.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
Cet après-midi, la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a entamé l’audition des 98 pétitionnaires inscrits au titre de la question du Sahara occidental.
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a poursuivi et achevé, aujourd’hui, son débat général sur le développement social avec un message fort: mettre les jeunes au centre de toutes les actions initiées en vue de garantir la réussite du Programme de développement durable à l’horizon 2030, et leur permettre d’être de véritables acteurs de développement.
L’Assemblée générale a adopté aujourd’hui une Déclaration politique sur la résistance aux agents antimicrobiens, dans une résolution sans précédent qui avait été approuvée le 21 septembre dernier à sa Réunion de haut niveau sur cette question sanitaire. L’Assemblée a d’autre part pris note, parfois d’une manière critique, du rapport du Secrétaire général sur l’activité de l’Organisation, que M. Ban Ki-moon avait présenté aux délégations le 20 septembre, à l’ouverture de cette soixante et onzième session.
L’état de droit est un prérequis à la paix, à la justice et au développement économique. Mais pour réaliser un tel objectif, il faut que certaines conditions soient réunies et remplies: tel est l’avis exprimé aujourd’hui par la majorité des délégations intervenues devant la Sixième Commission (Commission des questions juridiques), qui entamait l’examen de la question de l’état de droit aux niveaux national et international, après avoir conclu ses discussions sur les mesures visant à combattre le terrorisme.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a poursuivi, ce matin, son débat général en entendant deux États dotés d’armes nucléaires expliquer leur doctrine de défense dans un contexte sécuritaire chargé de nouveaux défis.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires a pris note, aujourd’hui, de la « bonne santé financière » de l’ONU, malgré un problème de trésorerie « préoccupant » concernant son budget ordinaire.
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a poursuivi, cet après-midi, son débat général sur la décolonisation, avant de commencer les auditions de représentants de territoires non autonomes et de pétitionnaires. Elle a ainsi entendu les représentants de l’Espagne, le Président de la Polynésie française, le Ministre principal de Gibraltar, le porte-parole du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, ainsi que des pétitionnaires qui avaient demandé à s’exprimer sur la question de la Polynésie française, de Gibraltar, de la Nouvelle-Calédonie, des Îles Falkland/Malvinas et des Îles Vierges américaines.
« En affirmant notre attachement au développement durable et à ses objectifs, nous reconnaissons que la discrimination n’est pas envisageable. » À l’instar du Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Wu Hongbo, les États Membres ont rappelé, aujourd’hui, lors du débat général consacré au développement social qui ouvrait les travaux de la Troisième Commission, qu’un engagement central du Programme de développement durable à l’horizon 2030 était de ne laisser personne de côté.
Depuis le dernier examen de la question du terrorisme international par la Commission il y a un an, le monde n’a cessé d’être le témoin d’atrocités terroristes et ce fléau de nature insidieuse et délétère menace chacun d’entre nous. Face à ce constat, l’ONU apparait comme le cadre idoine de lutte et pourtant, les États Membres ne parviennent pas à s’entendre sur l’élaboration d’un projet de convention générale sur le terrorisme, ont une nouvelle fois constaté les délégations qui se sont exprimées aujourd’hui à la Sixième Commission au deuxième jour de son débat sur « les mesures visant à éliminer le terrorisme international ».