En cours au Siège de l'ONU

Assemblée générale


CD/3718

« Nous aurons un traité et ce sera le meilleur texte possible », a déclaré avec enthousiasme la Présidente de la Conférence pour la négociation d’un instrument juridiquement contraignant visant à interdire les armes nucléaires, au lendemain du lancement officiel des négociations à huis clos sur les articles de fond du projet de traité*.

AG/COL/3314

Le Comité spécial de la décolonisation a demandé, aujourd’hui, aux Gouvernements de l’Argentine et du Royaume-Uni de consolider le processus de dialogue et de coopération en cours en reprenant leurs négociations afin de trouver, dans les meilleurs délais, une solution pacifique au conflit de souveraineté sur les îles Falkland (Malvinas).

CD/3715

Au cours d’une réunion très brève, les participants à la Conférence pour la négociation d’une convention sur l’interdiction des armes nucléaires ont pris note, ce matin, de leur programme de travail révisé*, du 26 au 30 juin, pour une nouvelle phase de discussions sur un projet de texte « beaucoup plus abouti », selon la Présidente de la Conférence, Mme Elayne Whyte Gómez.

AG/COL/3313

Le Comité appelle aussi à garantir la souveraineté de la Polynésie française sur ses ressources naturelles 

Le Comité spécial chargé de l’application de la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux « Comité spécial de la décolonisation » ou « Comité des Vingt-Quatre » a appelé (1), aujourd’hui, l’Assemblée générale à considérer que l’établissement, en Nouvelle-Calédonie, de listes électorales « justes, régulières, crédibles et transparentes », comme prévu par l’Accord de Nouméa, est indispensable à la réalisation, en 2018, « d’un acte libre, équitable et authentique d’autodétermination ».

AG/11924

L’Assemblée générale a adopté, aujourd’hui, une résolution dans laquelle elle demande à la Cour internationale de Justice (CIJ) de donner un avis consultatif sur deux questions concernant les effets juridiques de la séparation de l’archipel des Chagos du territoire de Maurice en 1965, une résolution qualifiée par le représentant du Royaume-Uni, qui administre l’archipel, de « précédent terrible ».