L’examen, aujourd’hui, par la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation), des pratiques israéliennes affectant les droits de l’homme du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés, a fait rejaillir, comme lors des sessions précédentes, des condamnations très fermes des actions d’Israël, mais aussi de l’impunité dont jouirait, selon certains, cet État.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
La clôture du débat de la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) sur les activités de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), a été l’occasion pour de nombreux États Membres d’insister sur la nécessité de trouver des solutions pérennes pour combler le déficit budgétaire qui menace son fonctionnement depuis les coupes drastiques annoncées par les États-Unis, qui étaient son plus important contributeur.
C’est sur le thème de la consolidation et de la pérennisation de la paix au Sahel que la Commission de consolidation de la paix (CCP) a tenu, aujourd’hui, sa session annuelle, permettant aux États Membres et aux partenaires clefs d’échanger sur la mise en œuvre du récent Plan de soutien de l’ONU au Sahel.
C’est un vibrant plaidoyer du multilatéralisme et de la solidarité qu’est venu faire cet après-midi, devant la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation), le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).
Les 26 délégations qui ont commenté aujourd’hui le rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à l’Assemblée générale ont fermement appuyé le Plan d’action global commun sur le dossier nucléaire iranien. Dans une résolution adoptée par consensus, l’Assemblée réaffirme d’ailleurs son « appui énergique » à l’Agence pour le rôle incontournable qu’elle joue en encourageant et en facilitant la mise au point et l’application pratique des utilisations de l’énergie atomique à des fins pacifiques. Face aux appels à la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a posé comme condition « le rétablissement de la confiance pour dépasser une méfiance bien enracinée entre la RPDC et les États ».
« C’est une première dans l’histoire récente », ont noté le Groupe des 77 et la Chine à propos du léger déficit actuariel enregistré par la Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies en 2017. La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, examinait la performance à court et long termes de la Caisse, donnant aux délégations l’occasion de saluer des retours sur investissements largement supérieurs aux objectifs fixés.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé aujourd’hui les travaux de la soixante-treizième session en adoptant 27 projets de résolution et de décision, amenant ainsi à 68 le nombre total de textes qu’elle transmettra donc à l’Assemblée générale pour approbation finale.
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a adopté, cet après-midi, un projet de résolution portant sur l’étude d’ensemble des missions politiques spéciales. Elle a également fait sien un projet de décision sur la question de Gibraltar.
« Faim Zéro ». Tel est l’objectif numéro 2 du Programme de développement durable à l’horizon 2030, qui a beaucoup retenu l’attention des délégations de la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, ce matin. Après un mois de travaux et 22 séances de débats, elle a entendu la présentation de 33 projets de résolution, dont cinq qu’elle a adoptés. L’Égypte a espéré, avant de présenter 29 projets au nom du Groupe des 77 et la Chine, que leur examen se ferait dans un esprit constructif.
Au cours d’une brève séance, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a adopté, aujourd’hui sans vote, deux nouveaux projets de résolution dont elle était saisie, notamment un « texte novateur » pour combattre la traite des personnes à des fins de prélèvement d’organes et de trafic d’organes humains dans le cadre de la « Prévention du crime et justice pénale ». Le second texte porte sur « Les droits de l’homme dans l’administration de la justice ».