La Deuxième Commission (questions économiques et financières) a approuvé, ce matin, l’ordre du jour et l’organisation des travaux* de sa soixante-quatorzième session, qui débutera lundi 7 octobre par le débat général et se terminera au plus tard le 27 novembre.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a ouvert aujourd’hui les travaux de sa soixante-quatorzième session en s’attardant sur le phénomène du vieillissement de la population tout en se mobilisant en faveur des jeunes et encourageant une « solidarité intergénérationnelle ».
Le Représentant permanent du Sénégal auprès des Nations Unies, M. Cheikh Niang, a été élu, le 4 juin 2019, Président de la Deuxième Commission (Questions économiques et financières) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies. (Voir communiqué de presse AG/12149)
Le Représentant permanent de l’Iraq auprès des Nations Unies, M. Mohammed Hussein Bahr Aluloom, a été élu, le 4ºjuin 2019, Président de la Quatrième Commission (Questions politiques spéciales et de la décolonisation) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Le Représentant permanent de la Bolivie auprès des Nations Unies, M. Sacha Sergio Llorentty Solíz, a été élu, le 4 juin 2019, Président de la Première Commission (Questions de désarmement et de sécurité internationale) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Le Représentant permanent du Luxembourg auprès des Nations Unies, M. Christian Braun, a été élu, le4 juin 2019, Président de la Troisième Commission (Questions sociales, humanitaires et culturelles) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Le Représentant permanent de la Slovaquie auprès des Nations Unies, M. Michal Mlynár, a été élu, le 4 juin 2019, Président de la Sixième Commission (Questions juridiques) pour la soixante-quatorzième session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies.
Loin d’être un principe démodé, la coopération multilatérale demeure une méthode « acceptable et fiable » pour gérer les relations entre nations.
La cinquième journée du débat général de l’Assemblée générale a été marquée comme les jours précédents par les questions liées aux ingérences extérieures, aux flux migratoires, aux changements climatiques et au processus de paix, cette fois avec les interventions de la Syrie, de Cuba, du Mexique, d’Haïti et du Yémen parmi une trentaine d’intervenants dont la République du Congo qui a dénoncé le trafic de faux médicaments.
Applaudissements et murmures de désapprobation ont résonné plus que d’ordinaire dans la grande salle de l’Assemblée générale. Qu’il s’agisse de la situation au Jammu-et-Cachemire, des effets dévastateurs des changements climatiques, ou de la survie des petits États insulaires en développement, la quatrième journée du débat général a donné lieu à des prises de position tranchées de la part de pays aussi différents démographiquement qu’économiquement, avec pour principal point commun une critique larvée du rôle des Nations Unies face aux crises que traverse le monde.