La pandémie de COVID-19 se révèle être « non seulement une crise sanitaire mais aussi une crise majeure des droits de l’homme », ce qui a de fortes répercussions sur les travaux des organes et mécanismes afférents de l’ONU, lesquels continuent néanmoins d’agir malgré les difficultés, a souligné, aujourd’hui, la Présidente du Conseil des droits de l’homme (CDH), lors d’un dialogue virtuel nourri avec les membres de la Troisième Commission.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
L’impact sur le respect de la vie privée de l’utilisation de la technologie dans la réponse à la COVID-19 a mobilisé, aujourd’hui, l’attention de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui a également scruté l’impact de la crise sanitaire sur les personnes LGBT et le droit à la santé au cours d’une série de dialogues virtuels avec des titulaires de mandat.
Quelles mesures les États devraient-ils prendre pour lutter efficacement contre la traite des personnes? Sur quoi la communauté internationale devrait-elle concentrer ses efforts pour éliminer le travail des enfants d’ici à 2025? Et comment atténuer l’impact de la COVID-19 sur les victimes des formes contemporaines d’esclavage?
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a poursuivi, aujourd’hui, son dialogue virtuel avec les titulaires de mandat, l’occasion pour les délégations d’examiner des questions aussi variées que la perspective de genre dans les processus de justice transitionnelle, la diligence raisonnable des entreprises opérant dans les zones de conflit ou encore l’approche juridique de la gestion des charniers.
Honduras a déposé le cinquantième instrument de ratification ou d’adhésion au Traité sur l’interdiction des armes nucléaires. En conséquence, le traité entrera en vigueur le 22 janvier 2021.
Il y a 75 ans, le 24 octobre 1945, « au milieu des décombres et des ruines de la Deuxième Guerre mondiale », les dirigeants ont fait montre d’« audace » en créant l’ONU, a déclaré, aujourd’hui, le Secrétaire général de l’ONU, M. António Guterres, à l’occasion de la cérémonie marquant la Journée des Nations Unies qui a été suivie par la reprise de la réunion de haut niveau sur le soixante-quinzième anniversaire de l’Organisation.
La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, son examen de la situation des droits de l’homme dans plusieurs pays, suscitant une fois de plus l’opposition des délégations opposées par principe aux résolutions spécifiques en la matière, à commencer par celles concernées par les rapports.
Treize jours après un premier échange virtuel avec la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, et les représentants de la société civile, la Première Commission a tenu ce matin un nouvel échange du même type consacré aux autres questions de désarmement, principalement la sécurité dans le cyberespace.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a été saisie cet après-midi des rapports du Comité des relations avec le pays hôte et du Comité spécial de la Charte des Nations Unies et du raffermissement du rôle de l’Organisation.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a commencé aujourd’hui à entendre les exposés d’experts chargés de la situation des droits de l’homme dans des pays précis, en l’occurrence du Myanmar et de la République populaire démocratique de Corée (RPDC). Comme par le passé, cet exercice a été critiqué par les États concernés et le Mouvement des pays non alignés, opposés par principe à cette « exploitation des droits de l’homme à des fins politiques ».