« Une note d’espoir » a marqué la fin de la deuxième journée de la vingt et unième session de l’Instance permanente sur les questions autochtones. Au terme d’une discussion sur le thème principal, le Président de l’Instance, M. Darío José Mejía Montalvo, a salué la volonté de certains États de travailler sur un instrument contraignant réglementant les activités des entreprises et leurs relations avec les peuples autochtones en mettant l’accent sur le consentement préalable, libre et éclairé.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social
Retrouver le chemin du développement durable dans le contexte actuel ne sera pas chose facile. Les participants de la réunion spéciale de haut niveau tenue aujourd’hui, à New York, en sont tous convenus à des degrés divers.
Cet après-midi, la Commission de la population et du développement a poursuivi son débat général, entamé hier au niveau ministériel, en plaidant pour de meilleures données et de meilleures informations, mieux ventilées, afin d’optimiser le potentiel du capital humain et d’atteindre les dividendes démographiques, et pour une aide accrue aux systèmes de données en général.
À l’ouverture du forum du Conseil économique et social sur le suivi du financement du développement, qui se tient du 25 au 28 avril, les participants ont entendu l’appel du Secrétaire général du l’ONU à « sauver de toute urgence les objectifs de développement durable » et à venir au secours des pays les plus vulnérables à une économie mondiale sous pression.
La Commission de la population et du développement a lancé, aujourd’hui, les travaux de sa cinquante-cinquième session, avec pour thème central « Population et développement durable, en particulier croissance économique soutenue et inclusive ». Une orientation thématique unanimement saluée par les intervenants de cette séance inaugurale, responsables onusiens, experts et une quarantaine de délégations, alors que la pauvreté et les autres formes d’inégalité font l’objet d’une attention renouvelée à la lumière de la pandémie de COVID-19 et de son impact sur l’économie, et sur fond de guerre en Ukraine.
L’Instance permanente sur les questions autochtones a donné, aujourd’hui, le coup d’envoi de sa vingt et unième session placée sous le thème: « Les peuples autochtones, le commerce, l’autonomie et les principes des droits humains en matière de diligence requise, y compris le consentement préalable, libre et éclairé. » Alors qu’a démarré, cette année, la célébration de la première Décennie internationale des langues autochtones (2022-2032), cette première journée de travaux a également laissé une place importance à la diversité linguistique, objet d’un échange entre les représentants autochtones réunis en présentiel pour la première fois depuis la pandémie.
Comment loger 1,8 milliard de sans-abris dans un monde qui compte d’innombrables grands immeubles résidentiels d’une valeur de 2 100 milliards de dollars? Le Conseil économique et social (ECOSOC) devait apporter une réponse à cette question ce matin à sa réunion d’examen du rapport quadriennal du Secrétaire général sur les progrès accomplis dans la mise en œuvre du Nouveau Programme pour les villes. Les discussions d’aujourd’hui alimenteront les débats de la réunion de haut niveau de l’Assemblée générale sur le même sujet, la semaine prochaine.
« Nous devons sauver les objectifs mondiaux, nous devons sauver notre monde. » C’est sur cette supplication que l’Envoyée du Secrétaire général pour la jeunesse a clos le Forum de la jeunesse de l’ECOSOC, tenu au cours des deux derniers jours de manière virtuelle. Un rendez-vous -le plus grand rassemblement de jeunes au monde- qui a permis d’entendre des messages clairs et forts des jeunes: des demandes ardentes de changer les systèmes et les structures pour réduire les inégalités ainsi que des idées, visions et solutions pour remettre le monde sur la bonne voie et réaliser les objectifs de développement durable avant l’échéance de 2030.
Alors qu’un « nuage invisible » plane au-dessus des jeunes, comme l’a exprimé la Vice-Secrétaire générale de l’ONU, il faut agir urgemment pour intégrer concrètement les jeunes dans les prises de décisions en vue de forger un avenir durable, ont plaidé en chœur les participants au Forum de la jeunesse du Conseil économique et social (ECOSOC), Mme Jayathma Wickramanayake en tête, en sa qualité d’Envoyée spéciale pour la jeunesse. Le Forum, qui se tient sur deux jours en format virtuel, se concentre sur la reprise après la COVID-19 mais examine aussi les conséquences de la crise climatique, des crises que subissent en particulier les jeunes, notamment en matière d’emploi.
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a pourvu, ce matin, des sièges vacants dans 16 de ses organes subsidiaires et apparentés, un processus qui a requis cinq mises aux voix, y compris à quatre reprises pour des candidatures impliquant la Fédération de Russie qui a été à chaque fois recalée.