La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
Traités, conventions, ratifications
La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU:
Le Secrétaire général s’est exprimé ce matin lors du sommet virtuel du G20 consacré à la pandémie de COVID-19. « Nous sommes en guerre contre le virus et nous ne gagnons pas », a-t-il indiqué devant les dirigeants du G20.
Nations Unies, New York, 30 septembre 2019 - En marge du 74e débat général, qui s’est déroulé au Siège de l’ONU, 32 États Membres ont pris 48 mesures relatives à des traités dans le cadre de la cérémonie annuelle de quatre jours qui a pris fin le 27 septembre.
La cérémonie annuelle des traités aura lieu au Siège de l’ONU, du 24 au 27 septembre 2019. Au cours de cet évènement, les États Membres sont invités à signer les traités multilatéraux déposés auprès du Secrétaire général de l’ONU ou à y devenir parties en déposant des instruments de ratification ou d’adhésion.
Après deux semaines d’intenses négociations, la troisième session de fond de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des « zones ne relevant pas de la juridiction nationale », a conclu ses travaux, aujourd’hui, sur la promesse de parvenir à un accord, comme prévu, l’an prochain.
Au lancement, le 19 août dernier, du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les délégations avaient grand espoir d’arriver à quai au 30 août, mais l’avant-dernière journée des délibérations a laissé transparaître des divergences notables entre les différentes parties.
À deux jours de la clôture du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les discussions ont porté sur des sujets divers, allant des activités que les États seront autorisés à mener concernant les ressources génétiques marines, à la définition même de ces ressources, en passant par les relations entre le futur accord et les instruments existants, ainsi que ses modalités de mise en œuvre.
« Levez la tête de vos textes et demandez-vous pourquoi nous sommes là », a déclaré, ce matin, la représentante de Greenpeace, s’exprimant au nom des 40 membres de l’Alliance de la haute mer, au cours d’une matinée marquée par les discussions sur l’article 17 de l’avant-projet d’accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
À l’entame de la deuxième semaine du troisième cycle de négociations intergouvernementales pour l’élaboration d’un instrument international sur la protection de la biodiversité marine, les débats se sont poursuivis sur le sujet épineux des modalités du transfert des techniques marines aux pays en développement et du renforcement des capacités de ces derniers.