La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu, ce matin, sa présidente, Mme Rena Lee, de Singapour, filer la métaphore sportive, en exhortant les délégations à conclure le « marathon » des négociations.
En cours au Siège de l'ONU
Traités, conventions, ratifications
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu, ce matin, un message du Secrétaire général, dans lequel ce dernier souligne l’importance d’aboutir à un texte « robuste et ambitieux ».
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin les facilitateurs des négociations faire état de « progrès considérables » vers le règlement des questions en suspens.
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des délégations exprimer leur vive inquiétude quant à l’issue des négociations, celles-ci entrant dans la dernière « ligne droite », selon l’expression du délégué de Cuba.
La Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a promis, ce matin, qu’une version consolidée du nouvel avant-projet d’accord actualisé, sur la base duquel travaillent les délégations, sera présentée ce samedi.
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale, plus connue sous l’acronyme anglais « BBNJ », a entendu ce matin des rapports résumant les travaux qui se sont tenus ces deux derniers jours lors de consultations informelles.
« Des progrès ont été enregistrés dans les consultations informelles pour chacune des thématiques examinées », s’est enthousiasmée, ce matin, Mme Rena Lee, de Singapour, Présidente de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
Ce matin a été donné, au Siège de l’ONU, à New York, le coup d’envoi de la reprise de la cinquième session de la Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
Paludisme: De nouvelles données publiées aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) montrent qu’en 2021, les pays du monde entier sont parvenus dans une large mesure à éviter de nouveaux reculs en matière de services de prévention, de dépistage et de traitement du paludisme.
Sommet « Transformer l’éducation ». Ce matin, le Secrétaire général a déclaré que l’éducation traverse une profonde crise et qu’au lieu d’être le grand moteur, elle devient rapidement le grand diviseur, puisque, dans les pays pauvres, 75% des enfants âgés de 10 ans sont incapables de lire un texte simple. Même dans les pays développés, l’enseignement creuse plus souvent qu’il ne réduit les inégalités de génération en génération.