Le Groupe de travail III de la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) a réfléchi aujourd’hui au financement de la Conférence des Parties dès sa première réunion.
En cours au Siège de l'ONU
Traités, conventions, ratifications
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ) et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a poursuivi aujourd’hui ses travaux de fond sur un éventail de questions.
La Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (Accord BBNJ)et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord a examiné, ce matin, des « questions de gouvernance » ayant trait aux organes subsidiaires, puis, cet après-midi, les dispositions relatives au fonctionnement du secrétariat, y compris son siège.
Conformément à la résolution (A/RES/78/272) de l’Assemblée générale, la Commission préparatoire pour l’entrée en vigueur de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale et la tenue de la première réunion de la Conférence des Parties à l’Accord, dit « Accord BBNJ », a ouvert, ce matin au Siège de l’ONU à New York, les travaux de sa première session et ses discussions sur un vaste éventail de questions pratiques.
La communauté internationale a réaffirmé son engagement à l’égard du renforcement du régime conventionnel multilatéral en entreprenant trente-deux actions au total, lors de la Cérémonie des traités qui s’est achevée aujourd’hui, en marge de la Semaine de haut niveau de la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale.
Dans un effort continu pour promouvoir la participation au régime conventionnel multilatéral des Nations Unies, le Siège de New York accueillera la Cérémonie annuelle des traités du 24 au 27 septembre 2024. La Cérémonie se déroulera en marge du débat général de la soixante-dix-neuvième session de l’Assemblée générale des Nations Unies.
En marge du soixante-dix-huitième débat général des Nations Unies, 85 États et une organisation internationale ont entrepris un total de 102 actions lors de la Cérémonie annuelle des traités, qui s’est achevée aujourd’hui.
Le 22 janvier 2024, au Siège de l’Organisation des Nations Unies, le Représentant permanent des Palaos a transmis au Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et Conseiller juridique de l’ONU l’instrument de ratification par les Palaos de l’Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
L’ONU est alarmée par les violents combats, en particulier dans l’État de Shan, dans la partie nord du Myanmar, avec des informations faisant état de bombardements d’artillerie et de frappes aériennes qui ont fait des victimes civiles et entraîné le déplacement de dizaines de milliers de personnes à l’intérieur du pays et de centaines de personnes de l’autre côté de la frontière.
La Conférence intergouvernementale chargée d’élaborer un instrument international juridiquement contraignant portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale (BBNJ) a clôturé, aujourd’hui, ses travaux, à l’issue de sa cinquième et dernière session, au lendemain de l’adoption d’un accord historique en lien avec la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer.