Quatrième Commission


CPSD/608

La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et de la décolonisation) a poursuivi, cet après-midi, son débat général sur la décolonisation, avant de commencer les auditions de représentants de territoires non autonomes et de pétitionnaires.  Elle a ainsi entendu les représentants de l’Espagne, le Président de la Polynésie française, le Ministre principal de Gibraltar, le porte-parole du Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, ainsi que des pétitionnaires qui avaient demandé à s’exprimer sur la question de la Polynésie française, de Gibraltar, de la Nouvelle-Calédonie, des Îles Falkland/Malvinas et des Îles Vierges américaines.

CPSD/607

La Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation a entamé son débat de cinq jours sur les questions de décolonisation liées aux 17 territoires non autonomes.  La question des Îles Falkland/Malvinas a été abordée cet après-midi dans les interventions de nombreuses délégations et groupes régionaux de l’Amérique latine et des Caraïbes.

CPSD/604

La Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a, cet après-midi, proposé à l’Assemblée générale d’adopter le rapport du Comité spécial des opérations de maintien de la paix* et d’inscrire à l’ordre du jour provisoire de sa soixante et onzième session la question intitulée « Étude d’ensemble de toute la question des opérations de maintien de la paix sous tous leurs aspects ».

CPSD/602

Les perspectives d’un accord israélo-palestinien négocié sont sombres et la situation sur place laisse craindre une troisième intifada, a averti ce matin la représentante du Pakistan alors que la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) achevait son débat général sur les « pratiques israéliennes affectant les droits du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés ».

CPSD/601

Nous « implorons » la communauté internationale de se placer à la hauteur du défi et d’accorder une « protection » au peuple palestinien car le droit à la sécurité n’est pas « l’exclusivité » d’Israël.  C’est en substance le plaidoyer auquel s’est livrée, aujourd’hui, l’Observatrice de l’État de Palestine alors que la Quatrième Commission chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation commençait son débat sur les « pratiques israéliennes affectant les droits du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés ».