La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a achevé, ce matin, son débat général pour ensuite entamer le début des discussions thématiques en après-midi. Mais la teneur des interventions a permis de se rendre compte que l’approche du désarmement était avant tout un problème global qui exige un mélange de coopération, de synergie et de prospection pour devenir une réalité.
En cours au Siège de l'ONU
Première Commission
L’impatience des États non dotés d’arsenal nucléaire s’est clairement manifestée, aujourd’hui, à l’avant dernier jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).
Avec l’intervention de la République islamique d’Iran, le désarmement nucléaire multilatéral a évidemment occupé une place de choix au cours de cette sixième journée de débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).
Très mobilisée, depuis l’ouverture de son débat général, lundi, par la question du désarmement nucléaire, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entendu, aujourd´hui, l’inquiétude de nombreux États, africains notamment, concernant la prolifération des armes légères et de petit calibre (ALPC).
Avec les interventions de la Chine, de la République de Corée et de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), c’est l’apaisement de la situation dans la péninsule coréenne qui a dominé, aujourd’hui, le quatrième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).
Rhétorique belliqueuse, montée des tensions, instabilité accrue: au troisième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale), les délégués ont partagé une même inquiétude face à l’état actuel de la sécurité dans le monde et à l’absence de progrès pour faire avancer le désarmement, affichant toutefois des divergences marquées sur le meilleur moyen d’y parvenir, notamment pour ce qui est du nucléaire.
Dans un contexte international marqué par la détérioration de la situation sécuritaire, c’est la question du nucléaire qui a dominé les préoccupations des délégués qui participaient, aujourd’hui, au deuxième jour du débat général de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale).
La Première Commission (désarmement et sécurité) a entamé aujourd’hui son débat général, l’occasion pour la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, de constater que les armes de destruction massive demeurent au cœur des préoccupations de la communauté internationale malgré certaines évolutions positives relatives, notamment, à la situation dans la péninsule coréenne.
La Première Commission chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale a approuvé, aujourd’hui, son programme de travail pour la soixante-treizième session de l’Assemblée générale. Pour examiner les points à son ordre du jour cette année, la Commission prévoit la tenue de 27 réunions de fond, du 8 octobre au 9 novembre.
M. Ion Jinga, Représentant permanent de la Roumanie auprès des Nations Unies, a été élu par la Première Commission (Désarmement et sécurité internationale) le 5 juin pour présider ses travaux.