La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a poursuivi, ce matin, ses discussions sur un premier groupe de chapitres du rapport annuel de la Commission du droit international (CDI): chapitres introductifs I à III, Chapitre VII (Immunité de juridiction pénale étrangère des représentants de l’État), Chapitre X (L’élévation du niveau de la mer au regard du droit international) et Chapitre XI (Autres décisions et conclusions de la Commission).
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
Alors que le monde fait face à des défis complexes et que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 demeure hors de portée, la transformation numérique apparaît comme un vecteur d’espoir de plus en plus puissant pour la communauté internationale.
« Comment défendre nos principes d’humanité face aux risques de guerres déshumanisées? » Cette question posée par le Chef du Département fédéral des affaires étrangères de la Suisse était le point central des débats de la réunion que le Conseil de sécurité a tenue aujourd’hui sur le thème « Anticiper l’impact des évolutions scientifiques sur la paix et la sécurité internationales ».
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a entamé ce matin son débat sur le rapport annuel de la Commission du droit international (CDI) en examinant un premier groupe thématique: chapitres introductifs I à III, Chapitre VII (Immunité de juridiction pénale étrangère des représentants de l’État), Chapitre X (L’élévation du niveau de la mer au regard du droit international) et Chapitre XI (Autres décisions et conclusions de la Commission).
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée aujourd’hui, sur la question des disparitions forcées, des droits des migrants, de la justice transitionnelle et de l’albinisme. Les six spécialistes avec qui elle a dialogué ont déploré des tendances négatives concernant les disparitions forcées et les droits des migrants, notamment du fait de l’extension des conflits armés et de l’aggravation des changements climatiques.
La Première Commission, chargée des questions de désarmement et de sécurité internationale a poursuivi, ce matin, sa discussion thématique sur les armes nucléaires. Les pays ont exprimé des vues contrastées, tantôt pour souligner l’importance de légiférer sur l’aspect humanitaire de ces armes, tantôt pour en défendre la place dans les doctrines et politiques de sécurité des États dotés, officiellement ou non, parties ou non au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). En outre, les pays en développement ont attiré l’attention sur l’importance pour eux de pouvoir bénéficier sans entrave des utilisations pacifiques de l’énergie atomique dans le cadre des accords qui les lient à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
À l’initiative des États-Unis et de la Slovénie, le Conseil de sécurité s’est penché cet après-midi sur la situation humanitaire « désastreuse » en Ukraine, à l’approche d’un hiver qui promet d’être rude, a averti le Sous-Secrétaire général pour l’Europe, l’Asie centrale et les Amériques.
La Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a, cet après-midi, écouté la Présidente du Comité scientifique des Nations Unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants (UNSCEAR) lui présenter les travaux de cet organe au cours de l’année écoulée.
Les progrès technologiques s’accélèrent, mais leurs fruits restent inégalement répartis. Aujourd’hui, la Deuxième Commission (économique et financière) a longuement examiné la fracture numérique et la question de la gouvernance des données, ainsi que leurs impacts sur la mondialisation et les migrations.
Au troisième jour de son examen de la promotion et protection des droits humains, la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, s’est penchée sur une série de thèmes portant notamment sur l’accès à un logement décent, les droits à l’alimentation, l’eau potable et l’assainissement, de même que le droit à un environnement propre, sain et durable, ainsi que la promotion et la protection des droits humains dans le contexte des changements climatiques. Elle a également discuté des questions liées à la gestion et l’élimination écologiquement rationnelles des produits et déchets dangereux.