Cet après-midi, la Quatrième Commission, chargée des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a adopté son projet de résolution triennal concernant l’Université pour la paix, laquelle poursuit sa mission de promouvoir la paix dans un environnement mondial en pleine mutation.
En cours au Siège de l'ONU
Couverture des réunions
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé ce matin l’examen du chapitre de son débat thématique consacré aux « armes classiques » après avoir achevé celui consacré aux « autres armes de destruction massive ». Les délégations ont amplement débattu de la lutte contre le trafic illicite des armes légères et de petit calibre (ALPC), évoquant également les mines antipersonnel et les systèmes d’armes létaux autonomes.
« La Syrie ne saurait se transformer en théâtre d’opérations où les acteurs pourraient régler leurs comptes ou attiser les flammes du conflit », a averti, cet après-midi au Conseil de sécurité, M. Geir Otto Pedersen, l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie, insistant pour que ce pays soit préservé du conflit qui sévit dans la région.
La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a ausculté, ce matin, la santé financière de l’ONU découvrant qu’au 30 septembre 2024, il manquait 3,38 milliards de dollars au budget ordinaire et à celui des opérations de paix pour boucler l’année.
La Représentante spéciale du Secrétaire général pour la République centrafricaine (RCA), qui est à la tête de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation dans ce pays (MINUSCA), a indiqué, ce matin devant le Conseil de sécurité, que « l’achèvement du prochain cycle électoral 2025-2026 est primordial pour renforcer la stabilité institutionnelle ».
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles a achevé aujourd’hui sa discussion générale sur la promotion et la protection des droits humains, l’occasion pour plusieurs délégations d’accuser à nouveau les « Occidentaux » -États-Unis et Union européenne- d’instrumentaliser et les droits humains, et d’appliquer sélectivement le « deux poids, deux mesures », en particulier quand il s’agit des Palestiniens. « Pourquoi cette contradiction flagrante quand il s’agit des peuples de notre région? Notre sang a-t-il une autre couleur? » s’est notamment indignée la Libye.
La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a poursuivi, aujourd’hui, ses discussions sur un premier groupe de chapitres du rapport annuel de la Commission du droit international (CDI): chapitres introductifs I à III, Chapitre VII (Immunité de juridiction pénale étrangère des représentants de l’État), Chapitre X (L’élévation du niveau de la mer au regard du droit international) et Chapitre XI (Autres décisions et conclusions de la Commission).
Après avoir achevé son débat sur les armes nucléaires, la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) s’est penchée, aujourd’hui, sur les « autres armes de destruction massive », soit essentiellement les armes chimiques et les armes biologiques ou à toxine.
« La voie à suivre pour Haïti est semée d’embûches », a reconnu Mme María Isabel Salvador, Représentante spéciale du Secrétaire général et Cheffe du Bureau intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH), venue cet après-midi informer le Conseil de sécurité de la détérioration continue de la situation dans ce pays au cours des trois derniers mois.
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a débuté aujourd’hui sa discussion générale sur la promotion et la protection des droits humains, l’occasion pour chaque délégation de réitérer ses engagements et objectifs en la matière, mais aussi, pour un nombre croissant d’entre elles, de dénoncer un « deux poids, deux mesures » dans le traitement de ces questions.