La Sixième Commission, chargée des questions juridiques, a pris note ce matin des rapports oraux des présidents de ses trois Groupes de travail sur le projet de convention générale sur le terrorisme international, la responsabilité pénale des fonctionnaires et des experts en mission des Nations Unies, et la portée et l’application de la compétence universelle.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale
La Troisième Commission, en charge des questions sociales, humanitaires et culturelles, a examiné aujourd’hui avec le Président du Conseil des droits de l’homme, M. Vojislav Šuc, les moyens d’accroître l’efficacité du Conseil, y compris dans le cadre de sa collaboration avec la Troisième Commission.
Alors que la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) devait poursuivre, cet après-midi, l’adoption de ses projets de résolution, les explications de vote sur les textes relatifs au désarmement nucléaire, qui ont été adoptés hier, ont été si nombreuses et si animées qu’il a été impossible de procéder aux mises aux voix prévues aujourd’hui.
La Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires était saisie, aujourd’hui, des décisions et recommandations annuelles de la Commission de la fonction publique internationale (CFPI) sur la rémunération du personnel des Nations Unies qui, si elles étaient approuvées par l’Assemblée générale, ponctionneraient de 9,7 millions de dollars supplémentaires le budget ordinaire et de 3,5 millions le budget des opérations de maintien de la paix, en 2018-2019. Les États-Unis et le Japon se sont inquiétés de ces demandes à contre-courant de la tendance actuelle à rationaliser les indemnités du personnel de l’ONU, pour éviter qu’elles ne soient « gonflées de manière injustifiable ».
« Il est indiscutable qu’en 12 années d’existence, le Conseil des droits de l’homme a joué un rôle central dans l’examen des violations de ces droits dans le monde », a déclaré, aujourd’hui, le Président de cet organe qui siège à Genève, M. Vojislav Šuc, en présentant devant l’Assemblée générale son rapport annuel.
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a achevé, ce matin, son débat consacré aux opérations de maintien de la paix, au cours duquel les délégations ont notamment mis l’accent sur la protection des civils et des personnels des missions.
Plusieurs membres de la Sixième Commission, chargée des questions juridiques, ont profité de la présentation, ce matin, du rapport* du Comité des relations avec le pays hôte, en l’occurrence les États-Unis, pour détailler leurs griefs à l’endroit de ce pays, la Fédération de Russie dénonçant notamment la récente expulsion de 12 de ses représentants.
La Première Commission a entamé, aujourd’hui, l’adoption des projets de résolution et de décisions présentés par les différentes délégations en s’attaquant aux 24 textes relatifs au désarment nucléaire.
La Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, a achevé, aujourd’hui, son débat sur le rapport du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés et les questions relatives aux réfugiés, aux rapatriés et aux déplacés et questions humanitaires. La vingtaine de délégations qui ont pris la parole se sont interrogées sur les modalités du partage du fardeau des flux mondiaux de réfugiés dans un contexte socioéconomique volatile, en particulier quand les situations à l’origine des déplacements perdurent.
Au troisième jour du débat de la Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) consacré au maintien de la paix, c’est l’Afrique qui a dominé la séance, qui a notamment été marquée par la forte mobilisation des délégations africaines, qui ont souligné que si le continent accueille la moitié des missions de maintien de la paix déployées dans le monde, il est également un important fournisseur de contingents à ces missions.