Bien que son concept reste controversé, le droit au développement a mobilisé aujourd’hui l’attention de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.
Assemblée générale: Communiqués de presse
La lutte contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants a dominé, aujourd’hui, les échanges entre la Troisième Commission et les titulaires de mandat consacrés, cette fois encore, à la promotion et à la protection des droits de l’homme.
La Deuxième Commission chargée des questions économiques et financières a examiné, ce matin, le rapport du Secrétaire général de l’ONU sur le Nouveau Programme pour les villes et le renforcement du Programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat), l’occasion pour les États Membres de souligner l’importance de soutenir financièrement l’organisme et d’appuyer son rôle dans le relèvement après la pandémie de COVID-19.
Les infrastructures durables, la science et les technologies constituent un « moteur puissant » pour parvenir à réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030, qui est en soi une « feuille de route pour reconstruire en mieux » après la pandémie de COVID-19.
La Haute-Commissaire aux droits de l’homme a déclaré, ce matin, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qu’une politique fondée sur les droits de l’homme est profondément utile dans le contexte d’une pandémie, exhortant dans la foulée les États Membres à se saisir de l’occasion que représente la pandémie de COVID-19 pour « reconstruire en mieux ».
La Troisième Commission chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles a entamé aujourd’hui son imposant examen de la promotion et de la protection des droits de l’homme, et de l’application des instruments aux situations spécifiques de pays, entendant à cette occasion plusieurs titulaires de mandats qui, l’un après l’autre, ont évoqué les répercussions préjudiciables de la pandémie de COVID-19 sur les personnes et leurs travaux.
La Première Commission a tenu cet après-midi la première des trois séances virtuelles à son programme de la soixante-quinzième session de l’Assemblée générale. Le Président de la Commission, M. Agustín Santos Maraver, a ainsi invité la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement, Mme Izumi Nakamitsu, à débattre avec les États Membres, avant que ceux-ci n’entendent les doléances d’organisations de la société civile.
La pandémie a porté un coup très dur aux efforts visant à l’élimination de la pauvreté, premier objectif de développement durable de l’ONU et premier des deux points de l’ordre du jour débattus cet après-midi par la Deuxième Commission (questions économiques et financières) qui a aussi traité de la question du tourisme éthique et achevé, ce matin, l’examen du chapitre « développement durable ».
La pandémie de COVID-19 a poussé le Département de la communication globale à mettre en œuvre plus tôt que prévu « sa toute première stratégie de communication mondiale pour l’ONU », a déclaré ce matin la Secrétaire générale adjointe, Mme Melissa Fleming, devant la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission).
L’urgence d’adopter des mesures pour atténuer les répercussions néfastes de la pandémie de COVID-19 sur les droits des enfants figurait au cœur des préoccupations des délégations de la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, qui a poursuivi, aujourd’hui, son dialogue interactif virtuel avec les titulaires de mandat.