Aujourd’hui, les débats de la Première Commission (désarmement et sécurité internationale) ont connu deux temps très nets. L’intervention de la Présidente du Groupe d’experts de haut niveau chargé de l’élaboration d’un traité interdisant la production de matières fissiles a d’abord jeté un éclairage sur un rapport très attendu par la communauté internationale. Ensuite, les débats sur le désarmement nucléaire ont repris de plus belle. Mais en réalité, en tant qu’instrument venant compléter le régime de désarmement, les deux sujets se sont trouvés intimement liés.
En cours au Siège de l'ONU
Assemblée générale: Couverture des réunions
Les fruits de la croissance et du développement ne sont pas répartis de façon équitable. C’est le constat fait ce matin à la Deuxième Commission (questions économiques et financières), qui a abordé le nouvel ordre économique international ainsi que les liens entre migrations internationales et développement, avant de se pencher, dans l’après-midi, sur l’accès aux technologies de l’information et des communications (TIC).
Les cinq Rapporteurs spéciaux qui se sont entretenus, aujourd’hui, avec les délégations à la Troisième Commission ont cherché à identifier les moyens de promouvoir les droits de l’homme en faveur des personnes les plus vulnérables, notamment les migrants et les réfugiés, sous l’angle de l’éducation, du logement, de l’accès à l’eau ou encore de la santé mentale.
La Première Commission (désarmement et sécurité internationale) a entamé, cet après-midi, son débat thématique sur « les armes nucléaires », qui a fait apparaître une nouvelle fois l’inquiétude des délégués face à la paralysie des négociations sur le désarmement.
La « quatrième révolution industrielle », les « chances formidables » qu’elle offre mais aussi les défis qu’elle présente ont été commentés aujourd’hui à l’Assemblée générale qui tenait une séance sur l’« incidence de l’évolution rapide de la technique sur la réalisation des objectifs de développement durable ».
La Troisième Commission a poursuivi, aujourd’hui, l’examen de la protection et la promotion des droits de l’homme sous ses différentes facettes en se penchant sur les thèmes des disparitions forcées, des personnes déplacées sur le plan interne et des droits des migrants et de leur famille.
Ce sont exactement des crédits supplémentaires de 1 495 400 dollars que le Secrétaire général demande à la Cinquième Commission chargée des questions administratives et budgétaires, pour améliorer le fonctionnement de l’administration de la justice à l’ONU en 2019.
La Quatrième Commission (questions politiques spéciales et décolonisation) a entamé, ce matin, l’examen des questions relatives à l’information, l’occasion pour la Secrétaire générale adjointe à la communication, Mme Alison Smale, de faire le point sur l’état du processus de réforme du Département de l’information.
Les délégations ont exprimé ce matin, devant la Sixième Commission (questions juridiques), leur vive inquiétude devant les atteintes « de plus en plus audacieuses » contre leurs missions et représentants diplomatiques et consulaires et demandé le strict respect des Conventions de Vienne qui prévoient leur protection.
Poursuivant son examen de la protection et la promotion des droits de l’homme sous tous ses aspects, la Troisième Commission s’est penchée aujourd’hui sur toute une palette de ces droits, abordés sous des angles variés: leur protection dans le contexte de la lutte contre le terrorisme, les effets négatifs qu’exercent les mesures coercitives unilatérales, l’indépendance des juges et des avocats, le droit au développement et la promotion d’un ordre international démocratique et équitable.